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Commentaire de jaja

sur Le grand paradoxe de l'antifascisme d'aujourd'hui


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jaja jaja 27 mai 2014 16:58

Votre délire est ahurissant... Sachez que je conchie les phalanges libanaises et non les Chrétiens libanais dont beaucoup sont progressistes... Quand à être islamophobe smiley

Occupez-vous plutôt des gangsters de la droite que vous soutenez et qui viennent d’être pris la main dans le sac ces ordures et dont Copé est la victime expiatoire : Ras-le-bol !

Voici ce que j’ai reçu de Philippe Poutou à ce sujet :

« Salut à toutes et tous
C’est la catastrophe à l’UMP ! Copé et la direction démissionne. C’est un trio de vieux qui reprend le contrôle (Fillon, Raffarin et Juppé). La triche sur les financements de campagne ça continue de plus belle : après 1995, 2007 voilà donc le millésime 2012. Quel scandale. Ces gens là, ceux-là mêmes qui vantent la rigueur, jouent avec des millions d’euros. 11 millions d’euros non déclarés ! En plus des 20 millions officiels plus les millions d’euros dépensés par tous les « gros » candidats. C’est dingue le coùt et le gaspillage d’une élection. Mais passons.
Là c’est l’UMP pris la main dans le sac après avoir menti pendant des semaines. Alors tant mieux si ça pète, si Copé rejoint les Balkany, Woerth, Sarkozy dans les tribunaux.
Cela fait plaisir certes mais cela ne règle pas nos problèmes. D’abord, on peut craindre que le FN réussisse encore à profiter de l’écoeurement que cette affaire va renforcer inévitablement. Le ras le bol est bien là.
Mais alors comment faire, quoi faire pour que le mécontentement, la colère, l’écoeurement se traduisent par une remontée des forces militantes à « gauche », par une re-mobilisation de la population ?
Car une chose est sûre, la solution à nos problèmes repose sur la reconstruction du mouvement social, sur le renforcement des liens de solidarité, sur la convergence des résistances. L’issue c’est que des millions de gens redescendent dans la rue, que la perspective de lutte collective redevienne crédible.
La solution c’est la contestation du capitalisme, dans la rue, dans les entreprises, dans les quartiers, c’est la bataille sociale. Les militant(e)s associatifs, syndicalistes, et celles/ceux de la gauche (la vraie) politique doivent se rencontrer pour discuter concrètement de comment on fait dans les mois qui viennent.
Philippe


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