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Commentaire de morice

sur Le Débarquement, une invasion !?


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morice morice 12 juin 2014 16:57

« Une Invasion coloniale rebaptisée pudiquement « débarquement »


FOUTAISES DE FASCISANTS nostalgiques : c’était attaquer l’hitlérisme et ses ravages et non une conquête préméditée, car c’est cela qu’à oublié notre fascisant : il n’y a pas un seul texte US qui parle de »conquérir« un jour l’Europe, pas un seul.

c’est du flan complet et c’est GRAVE, car ça participe à une œuvre concertée d’ attaque du débarquement ... ou de la résistance aussi : c’est ABJECT comme procédé, ces attaques en pleine commémoration, absolument ABJECT.

qui est-elle ?

http://www.forum-normand.org/t2210-what-soldiers-do-de-mary-louise-roberts-aux-editions-university-of-chicago-press

celle qui parle de viols : si on compte le nombre de cas jugés par rapport au nombre de soldats débarqués, c’est largement inférieur à la moyenne nationale en France à la même époque ; c’est donc bien une entreprise de déstabilisation du Débarquement, effectuée par des historiens révisionnistes, décidés à voir le phénomène par le petit bout le la lorgnette pour se faire mousser : c’est SON CAS, qui repose sur une étude statistiquement faussée par ses soins.... 

cette femme est folle, à écrire ceci :

“The GI’s were having sex anywhere and everywhere,” she added. “In the cities of Le Havre and Cherbourg, bad behavior was common. Women, including those who were married, were openly solicited for sex. Parks, bombed-out buildings, cemeteries and railway tracks were carnal venues.”

Ms. Roberts said that the sex “was not always consensual, with hundreds of cases of rape being reported.”


Read more : http://www.washingtontimes.com/news/2013/may/29/tall-tale-new-book-slams-american-wwii-soldiers-ra/#ixzz34R7Dycv2 

si vous regardez ses propres chiffres, ce n’est pas ce qu’elle raconte !! c’est débile de présenter ainsi les choses comme une généralité et c’est surtout HONTEUX...`

son discours ne tient pas la rampe 
Exploitant des documents officiels de propagande, les journaux intimes et mémoires de soldats, l’auteure, Américaine, révèle que le commandement militaire américain a sciemment érotisé la France et exploité le mythe de la « femme française » pour mobiliser ses troupes.

ce n’est pas avec deux images qu’’elle va y arriver...

That’s not the picture of the Greatest Generation that we’ve been given, but it’s the one Mary Louise Roberts paints to devastating effect in What Soldiers Do. Drawing on an incredible range of sources, including news reports, propaganda and training materials, official planning documents, wartime diaries, and memoirs, Roberts tells the fascinating and troubling story of how the US military command systematically spread—and then exploited—the myth of French women as sexually experienced and available. The resulting chaos—ranging from flagrant public sex with prostitutes to outright rape and rampant venereal disease—horrified the war-weary and demoralized French population.

en fait ses »preuves« ne tiennent pas la rampe. Car son propos est tout autre : c’est de faire une intervention où l’hitlérisme n’y est pour RIEN :
omment convaincre les GI de débarquer sur les plages de Normandie et de se jeter sous le feu ennemi au péril de leur vie ? En invoquant le patriotisme, la solidarité entre les démocraties, les crimes barbares des nazis ? Sans nul doute. Mais un autre argument fut employé au sein de l’armée américaine en 1944 : »Pensez à la beauté des femmes françaises qui n’attendent que vous et sauront comment récompenser leurs libérateurs". 

il n’y pas eu d’ordres véritables dans ce sens, et les Gis ont bien débarqué avec comme sentiment de bouter les allemands dehors et non de venir se taper des françaises : la France comme Lupanar géant, c’est le moyen de dire que ce n’est pas Hitler qui était visé. De l) à conclure qu’il n’était pas si dangereux que ça et que le débarquement était une opération de tourisme sexuel, il n’y a qu’un pas que cette dame franchit sans hésiter. En somme, c’est un révisionnisme de plus du débarquement : ce n’est guère mieux qu’un Faurissson, dans un autre genre. Les tombes de Collevilles se retrouvent souillées par cette idiote désireuse de faire du féminisme de tout ce qu’’elle touche : là c’est particulièrement déplacé et honteux, et c’est aussi à rapprocher des thèses d’un BUISSON, auteur d’un ouvrage sur la sexualité sous l’occupation... les deux participent du même écran de fumée.


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