Commentaire de Marie PALU sur Que sont nos luttes devenues...

Commentaire de Marie PALU

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Marie PALU 19 juin 2014 22:04

Peut être que le peuple ne se sent pas concerné par les petits caprices d’une caste de privilégiés ? Des petits bourgeois vivant aux crochés des travailleurs laborieux.
La remarque sur madame qui ne peut pas aller chez son coiffeur est affligeante. Elle est digne de la phrase :« ils n’ont pas de pain, qu’ils mangent de la brioche »...
Personnellement j’arrive encore à trouver un petit artisan en bas de chez moi. Un idiot de travailleur du privé !

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