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Commentaire de Spartacus

sur Un autre « bienfait » de « l'Europe sociale » : depuis le traité de Maastricht, le travail de nuit explose


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Spartacus Lequidam Spartacus 25 août 2014 17:13

Partir d’une analyse du travail de nuit non conforme a la définition juridique est d’une bêtise sans nom. 


Comme toutes les études du ministère de l’emploi sont des manipulations. 

Il est incroyable que des gens qui se prétendent a des fonctions suprêmes se fourvoient a des analyses sur des sources aussi nulles. 

Le travail de nuit a été mesuré par l’INSEE selon une méthodologie non habituelle et non conforme à la définition juridique.

Soit de 21 heures à 6 heures du matin ou lieu de 22 heures à 5 heures. Ce qui change beaucoup dans une comparaison.

On peut imaginer avec cette subtilité que les caissières des hypermarchés travaillant jusque 22h pour les nocturnes passent en travailleuses de nuit par la manipulation statistique et augmente le nombre de femmes, augmente le nombre de travailleurs de nuit mais comme ces travailleuses bénéficient d’emplis en CDI. 

Ceci explique l’antagonisme du « curieux chiffre » de travailleuses précaires et occasionnelles en diminution alors que le nombre général de tous les travailleurs de nuit augmente. 

Ensuite il y a le « bon sens »......

Comme si en sortant de l’Europe cela mettrait fin aux infirmières la nuit.

Comme si un employeur aurait intérêt a embaucher les gens la nuit alors qu’il sont payés plus cher. Le fait d’être en Europe les rendrait mazochistes ???
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