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Commentaire de njama

sur L'envie élyséenne d'Alain Juppé, l'homme de Jacques Chirac


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njama njama 4 octobre 2014 09:59

Alain Juppé n’a pas manqué de ... s’exprimer avec détail et modération sur la situation catastrophique des finances publiques (le seuil symbolique des 2 000 milliards d’euros de dette publique ayant été franchi au 2e trimestre 2014).

avec modération on le comprend, c’est un sujet brûlant ou branlant pour la droite. Le PS est peut-être mal barré pour 2017, mais le bilan calamiteux de Nicolas Sarkozy plombe toute la droite
nous n’avons pas la mémoire si courte !
.
paraîtrait que Nicolas reviendrait pour redresser les finances catastrophiques de la France ...

500 milliards envolés en 5 ans ...

Le Point - Publié le 14/01/2012 -
Les auteurs de « Un quinquennat à 500 milliards » étrillent la gestion du président.

« Depuis que Nicolas Sarkozy est arrivé au pouvoir, la dette de la France a augmenté de 630 milliards d’euros, passant de 1 150 milliards à 1 780 milliards d’euros. »

L’Élysée, relayé par Bercy, met ces résultats - « calamiteux », pourrait dire Alain Juppé - sur le compte de la crise économique la plus grave depuis 1929. Trop facile, rétorquent Delattre et Lévy. S’appuyant sur des documents officiels, ils montrent que la crise de 2008, en abaissant les recettes et en grevant les dépenses, aurait alourdi la dette de 109 milliards d’euros. Mais le reste, entièrement imputable au président, s’élève à 520 milliards d’euros (le titre de leur livre l’arrondit à 500). Explications : « Le budget dont a hérité Nicolas Sarkozy, à l’instar d’une voiture mal réglée (...), grillait 3,2 points de PIB.« Plutôt que de »soulever le capot pour régler la machine », l’Élysée a laissé filer. En ne freinant pas cette dérive, il a fait gonfler la dette de 370 milliards d’euros. Auxquels s’ajoutent 153 milliards, car « le nouveau président a aussi appuyé sur le champignon ». Nicolas Sarkozy, l’homme qui voulait mettre l’État à la diète, a fait bondir la dette publique de la France de 20 points (dont seulement 5,5 imputables à la crise) !


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