Nietzschéen sans doutes en tous cas pour les susceptances, ( Dans une interview accordée il y a quelques jours au Figaro.fr, Bernard-Henri Lévy avouait qu’il avait recours à des substances dangereuses, « Il
y a une vraie tradition, vous savez, des écrivains consommateurs de
substances (...) À quoi sert un corps, pour un écrivain, sinon à
produire le maximum de texte possible ? Et de la meilleure qualité ? Les
amphétamines, parfois, m’y ont aidé. » )
La consommation de substances est évidemment illégale et mauvaise pour la santé !
Bernard Henry Lévy : « Les intellectuels faussaires » L’affaire Botul aurait dû être le cercueil de
Le misérabilisme philosophique d’un agrégé en imposture
Par Mohamed Mebarki
Pascal Boniface en apportant d’irréfutables preuves. « En 2001, il
évincera d’Arte Georges Goldenstern malgré la pétition en sa faveur
d’une centaine de cinéastes et de producteurs influents dans le milieu
du cinéma. Ce dernier s’était opposé au financement du film le Jour et
la Nuit qui a fait le bide que l’on sait. Un film, qui selon les
commentaires, a fait plus de sorties que d’entrées. Ce long métrage
calamiteux qui n’a fait que 70 000 entrées, malgré une promotion digne
d’un blockbuster hollywoodien, avait reçu 530 000 euros au titre de
l’avance sur recettes. Les Cahiers du cinéma l’avaient qualifié de plus
mauvais film depuis 1945. Dans Libération, Gérard Lefort ironisait : ‘Je
suis allé à la séance de 18 heures. Deux heures plus tard j’ai regardé
ma montre, il était 18h 20…’ », écrit le directeur de l’IRIS qui ne
manque pas de s’interroger : « On peut se demander si de tels
commentaires critiques seraient toujours possibles aujourd’hui vu le
poids de B.H.L. sur les médias. » Le film le Jour et la Nuit, réalisé en
1997 par Bernard Henri Lévy et illustré à l’écran par Alain Delon,
Lauren Bacall et Karl Zéro, fut un désastre cinématographique et
financier qui n’empêcha pas son auteur d’ouvrir le feu sur tous ceux qui
l’avaient « mal vu » en signant un droit de réponse audiovisuel. Une
première dans les annales du cinéma ! Aucun cinéaste n’avait fait montre
d’une hargne et d’un extrémisme pareils jusqu’à harceler ses propres
détracteurs. Cité par Pascal Boniface, Philippe Cohen écrit : « B.H.L.
est ainsi devenu de facto l’un des derniers censeurs opérationnels du
système médiatique parce qu’il est réputé disposer d’un pouvoir de nuire
rare dans le milieu des décideurs politiques. »
łł Mohamed Sifaoui, l’Algérien, s’extasie à pleins poumons et ne tarit pas
d’éloges sur le compte de celui qui a osé manquer de respect à la
moudjahida Zohra Drif Bitat lors d’un débat organisé en mars dernier à
Marseille par l’hebdomadaire Marianne. « Il faut, parfois, savoir rendre
à César ce qui appartient à César », s’écrie subitement Sifaoui en
proie à une révélation. « J’ai souvent été très critique à l’endroit
des représentants du monde intellectuel français – et notamment à
l’égard des penseurs de gauche – sur leur incapacité à voir les dangers
de l’islam politique. De l’islamisme, comme on l’appelle. N’empêche. Si
je devais témoigner de l’engagement d’un seul homme, d’un seul
journaliste, d’un seul écrivain, d’un seul philosophe, bref d’un
intellectuel, contre ce fléau obscurantiste, et je devais livrer un seul
nom, ce serait celui de Bernard Henri Lévy qui me viendrait à
l’esprit », »
http://www.eldjazaircom.dz/index.php?id_rubrique=221&id_article=2798
LES PREUVES DE L’INEXISTENCE DE BERNARD-HENRI LEVY
http://www.lherbentrelespaves.fr/BHL.html