@Piquecul
Vous vous rendez qu’avec vos schémas intellectuels en France les gens qui ne se plaisent pas restent ?
Qu’on est obligé de payer pour les virer alors qu’ailleurs ou les lois sont plus simples on est obligé de payé pour garder, car dans un marché de l’emploi plus ouvert, embaucher n’est pas un risque majeur ?
Que c’est une fabrique à chômeurs ?
Créer le problème par des contraintes incompréhensibles et insulter les autres de ne pas s’y plier.
Vouloir avoir de la merde dans les yeux et faire vivre au dépend des autres dans une culture du conflit. C’est absurde.
C’est quoi le métier de l’employeur ?
Percepteur ou entrepreneur ?
J’ai une PME en Angleterre. La feuille de paye fait 3 lignes. C’est un ticket de caisse.
La première fois que j’ai fait une feuille de paye, j’ai vu la dernière ligne négative.
La première ligne, c’était la retraite. J’ai compris.
La seconde ligne, c’était négatif, j’ai téléphoné au comptable. Il m’a indiqué que c’était de l’impôt négatif, l’équivalent de la prime pour l’emploi.
La sécu c’est l’impot.
Je fais les feuilles de paye en Angleterre sans comptable, je comprend tout. Dans mon propre pays j’en suis incapable sans un logiciel et une vérification comptable.
Il y a 6% de chômage en Angleterre.
Le chômage est tournant, il y a beaucoup moins de chômeurs de longue durée....
Les emplois sont mieux payés. Les salariés compétant ont un poids bien plus important que les employés syndiqués Français, car on paye pour les garder.
En France on paye pour les virer, même s’ils ne se plaisent pas ils veulent rester.
Evidemment les profiteurs sociaux des contraintes sociales ne sont pas des chômeurs mais des protégés.
Défendre les insinders ou le rester dans l’emploi à tout prix, c’est de la bêtise. Ce n’est ni social, ni le bon sens. Par contre c’est créer des outsiders de l’entreprise.
Dans un monde de turn-over, les exclus sont temporaires et il y na moins de misère de long termeL
e travail est un marché. Les revenus sont meilleurs dans la liberté de partir ou entrer.
L’émancipation et la richesse des expériences est supérieure à un marché du travail administré ou chacun essaye de vivre au dépend de l’autre en recherchant le statut ou le privilège que l’émancipation.