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Commentaire de Mohammed MADJOUR

sur La note est salée


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Mohammed MADJOUR (Dit Arezki MADJOUR) Mohammed MADJOUR 17 décembre 2014 16:12

@Nabum

Excellent, mais je n’ose pas vous donner une note qui serait au dessus même du divin vingt ! J’en fais donc une « évaluation » à ma manière et avec une couleur qui en dit long quant à l’avenir de « l’école » : Sombre !

L’éducation a évolué, ses responsables successifs, ses enseignants, ses personnels, ses principes et traditions aussi ; il est bien révolu le temps où l’on attendait la « remise des copies » pour découvrir avec souvent beaucoup appréhension une note salée ou fade selon le gribouillage que l’on aura présenté au « professeur-dictateur » !

Mais comme j’avais répondu à Valls (qui disait aimer l’entreprise) http://www.agoravox.fr/actualites/politique/article/de-l-entreprise-humaine-francaise-155968&nbsp ; , je dis aussi aujourd’hui que l’éducation doit d’abord savoir « pourquoi » éduquer et le « comment » viendra automatiquement ! Quel est l’objectif, quelle est aujourd’hui la mission de l’école ?

Mais, si comme tout le reste, « l’éducation » doit suivre l’air du temps, c’est-à-dire s’embarquer sur le Vasa et naviguer comme tout le monde, alors laissons-nous aller à la complaisance. Dans l’ancien monde les notes se discutaient entre professeurs et élèves, mais c’était un monde trop rude, acceptant alors un monde mou et moelleux qui ne discuterait ni les goûts ni même les couleurs abondamment étalées ... Tout le monde finira par être beau, tout le monde finira par devenir gentil et ainsi la note deviendra par elle même inutile !
Donnons un zéro creux à la méchante note et on n’en parle plus !

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