Dans des romans d’espionnage des années cinquante, l’agent américain se gaussait de l’agent français : le français n’avait que son flingue pour ami, alors que l’américain avait un carnet de chèques pour corrompre qui il voulait, en Amérique latine.
A cet âge là, je ne posais pas la question de l’origine des richesses que l’américain dispensait à ses corrompus... Origine : la planche à billets. Ni mon père ni Science et Vie n’avaient pensé à me le dire.