Bonsoir,
Il est
indéniable que l’outil mathématique ’’fonctionne’’ et qu’il est le
plus approprié pour ’’dégrossir’’ les lois de l’Univers. Mais en
toute logique – s’il en est ainsi – c’est qu’il permet
d’atteindre ’’comme’’ une copie conforme de ce que nous dit d’elle la
Nature, comme une transposition, une tentative de traduction, donc
une trahison ... Et si ce langage mathématique ’’colle’’ au plus
près à ce que nous expérimentons, c’est que l’Univers, la Nature,
ses éléments, ses particules et l’énergie dont ce tout émerge, ce
tout apparaît comme quantifié et que les parties observées peuvent
ainsi être combinées en morceaux (du ♫...
=> ∞
...) dans les
langages inventés par l’humanité ... Mais, de même que ces
langages humains sont incomplets et ne peuvent ainsi que dire
vaguement CE QUI EN SOI EST (fondamentalement donc …), de même,
sans les mots et les schémas ( sans le verbe, dessins … et
l’esprit qui rime avec humour ...) les symboles utilisés par la
mathématique n’auraient aucuns sens. En effet in fine cette
symbolique ne permet de préciser ’’que’’ les mots des langages
quotidiens et donc les définitions puis les descriptions
d’expériences qu’ils permettent en les domaines où ’’mesurer’’
s’impose.
Dans la
quête de ses origines, c’est en espérant maintenant atteindre la
source fondamentale de son Univers – puis du Cosmos – que
l’humanité a inventé tous ces langages. Mais jusqu’ici elle n’a pu
que ’’cerner’’ ( à Genève … et ailleurs) cette source qui
s’annonce comme l’origine de tous nos repères (langagiers,
spirituels, mathématiques – cf. cartésiens et autres – ), au
seuil de cette source qui à priori ne pourrait plus être comparée
à quoi que ce soit qui lui ’’ressemblerait’’ (donc serait à son
image ...), et à fortiori aux symboles inventés par la pensée
humaine, lesdits symboles n’ont plus aucun sens et par conséquent ne
peuvent plus rien ’’exprimer’’.
C’est dire
que ce qui émergerait alors de cette source ne pourrait plus être
appréhendé que par un « trink », par une THÉORIE
PHÉNOMÉNOLOGIQUE VIRTUELLE VISUELLEment appréhendable qui
permettrait de faire LA SYNTHÈSE de tous les points de vue
humainement exprimés sur cette Terre, et exprimés nous le
constatons par des langages fondamentalement incompréhensibles donc
trompeurs. C’est qu’en ces langages et langues l’hanté dit lu
vient encore et de plus en plus, l est indéniable que l’outil
mathématique ’’fonctionne’’ et qu’il est le plus approprié pour
’’dégrossir’’ les lois de l’Univers. Mais en toute logique – s’il
en est ainsi – c’est qu’il permet d’atteindre ’’comme’’ une copie
conforme de ce que nous dit d’elle la Nature, comme une
transposition, une tentative de traduction, donc une trahison ... Et
si ce langage mathématique ’’colle’’ au plus près à ce que nous
expérimentons, c’est que l’Univers, la Nature, ses éléments, ses
particules et l’énergie dont ce tout émerge, ce tout apparaît
comme quantifié et que les parties observées peuvent ainsi être
combinées en morceaux (♫...
=> ∞
...) dans les
langages inventés par l’humanité ... Mais, de même que ces
langages humains sont incomplets et ne peuvent ainsi que dire
vaguement CE QUI EN SOI EST (fondamentalement donc …), de même,
sans les mots et les schémas ( sans le verbe, dessins … et
l’esprit qui rime avec humour ...) les symboles utilisés par la
mathématique n’auraient aucuns sens. En effet in fine cette
symbolique ne permet de préciser ’’que’’ les mots des langages
quotidiens et donc les définitions puis les descriptions
d’expériences qu’ils permettent en les domaines où ’’mesurer’’
s’impose.
Dans la
quête de ses origines, c’est en espérant maintenant atteindre la
source fondamentale de son Univers – puis du Cosmos – que
l’humanité a inventé tous ces langages. Mais jusqu’ici elle n’a pu
que ’’cerner’’ ( à Genève … et ailleurs) cette source qui
s’annonce comme l’origine de tous nos repères (langagiers,
spirituels, mathématiques – cf. cartésiens et autres – ), au
seuil de cette source qui à priori ne pourrait plus être comparée
à quoi que ce soit qui lui ’’ressemblerait’’ (donc serait à son
image ...), et à fortiori aux symboles inventés par la pensée
humaine, lesdits symboles n’ont plus aucun sens et par conséquent ne
peuvent plus rien ’’exprimer’’.
C’est dire
que ce qui émergerait alors de cette source ne pourrait plus être
appréhendé que par un « trink », une THÉORIE
PHÉNOMÉNOLOGIQUE VIRTUELLE VISUELLE qui ferait LA SYNTHÈSE de tous
les points de vue humainement exprimés sur cette Terre par des
langages fondamentalement incompréhensibles donc trompeurs, langages
et langues où l’hanté dit lu vient faire qu’encore et de
plus en plus semble-t-il, au fond des cours des habitations et
constructions en forme de tour le bât bêle …
M-A J.