Du
Photon-Anneau-Soliton.
Au 19ième
siècle, dans les expériences fondatrices de Faraday et d’Œrsted il
avait été observé l’orientation particulière que prend l’aiguille
aimantée d’une boussole lorsqu’elle est approchée d’un fil
métallique conducteur dans lequel circule un courant électrique.
Ainsi, dans
le repère terrestre, si l’on maintient horizontalement une feuille
cartonnée saupoudrée de limaille de fer et traversée en son centre
par un fil conducteur dans lequel circule un courant électrique
intense, cette limaille s’organise en ronds concentriques qui de ce
fait matérialisent des lignes perçues comme émergeant de l’espace.
Faraday
avait interprété ces ronds concentriques comme étant des lignes
rendant observable un champ qu’il qualifia de magnétique et qui
devait emplir tout l’espace, autrement dit comme les manifestations
ridées d’un substratum spatial préexistant qui ne se manifeste
ainsi que lorsqu’une charge électrique se déplace en lui.
Au 19ième
siècle, les courants électriques avaient encore des aspects
inconnus et n’étaient produits et observés que dans des fils
conducteurs servant de ’’guides’’ autour desquels les lignes
magnétiques étaient observables.
Faraday ne
l’étant pas ( à l’instar de l’auteur de ces lignes …) ce fut le
mathématicien J.C Maxwell qui trouva le modèle permettant de
formaliser le phénomène observé. Un modèle dit synthétique
unifiant magnétisme et électricité et qui, depuis, a reçu le nom
de théorie de l’électromagnétisme. Modèle éminemment concis il
est vrai, parce que établi dans un langage utilisant des symboles
n’admettant ni les synonymes, ni les jeux de mots, ni l’esprit
véhiculé par l’humour. Mais modèle qui, nous le verrons, avait
ses limites. Très loin de décrire la réalité qui se fait jour, ce
modèle mathématique idéale … et qui marche … est à la
physique ce que le contenu d’un livre peut être au livre, avec ou
sans majuscule : un cul de sac invraisemblable.
Aujourd’hui
nous pouvons enfiler des scaphandres de spationautes et nous projeter
idéalement très loin, hors de tout champ de force. Là nous allons
construire un accélérateur d’électrons à moindre prix, celui de
l’imagination souvent reconnue comme ... n’ayant pas de prix. Le
canon à électrons de cet accélérateur pointe hors du vaisseau
spatial. Il se trouve à l’extrémité d’une ligne de lumière
matérialisée dans l’espace par un rayon laser émis de l’astronef.
À quelques encablures de ce vaisseau une anode accélératrice est
alignée sur le canon à l’aide du rayon laser. Comme dans tout type
de semblable montage la vitesse des électrons sera fonction de la
tension électrique produite à discrétion entre le canon cathodique
et la cible anode accélératrice qui elle servira aussi de cible au
flux d’électrons.
Expérience(s)
1 : La charge positive de l’anode est au maximum de ce
qui peut être obtenu du dispositif. Un flux d’électrons de très
grande intensité et hyper-focalisé est produit. Ce flux d’électrons
est un courant électrique circulant dans le vide. Sur son trajet
pour atteindre la cible, ce flux traverse un nuage de limaille de
fer. Tout du long du flux électronique, de même qu’il le ferait le
long d’un fil conducteur, le nuage de limaille se structure
instantanément en les anneaux dits de champ ’’magnétique’’, donc
en boucles ’’magnétiques’’ concentriques.
Observation
faite et photos calibrées prises, l’expérience est reproduite à
l’identique, en baissant toutefois la tension accélératrice.
L’observation physique et les photos calibrées peuvent témoigner
que les anneaux ’’magnétiques’’ matérialisés par la limaille sont
de moindre ’’grosseur’’ que lors de la première expérience. Des
expériences renouvelées en utilisant des tensions accélératrices
de plus en plus faibles confirment bien que les anneaux observés
diminuent de ’’volume’’ en fonctions de la baisse de la tension
accélératrice. Ce que pouvait d’ailleurs parfaitement prédire la
théorie électromagnétique académique. Mais bon !
Expérience(s)
2 : Même schéma, même scénario. Cette fois nous
n’allons plus diminuer la tension accélératrice à chaque
réitération de l’expérience, mais faire varier l’intensité du
courant électrique, autrement dit diminuer le nombre d’électrons
que le canon émet dans le flux et qui sont toujours accélérés
sous la tension maximum permise par le dispositif, c’est à dire
toujours à la même vitesse. De même que précédemment nous avions
pu voir diminuer la grosseur des anneaux matérialisés par la
limaille de fer à mesure que la vitesse des électrons diminuait
elle aussi, de même nous observerons que la grosseur de ces anneaux
diminue ici en fonction de l’intensité du flux, donc du nombre
d’électrons en mouvement dans ce flux.
Et quand il
n’en restera qu’un … il pourra être suivi tout du long de son
trajet et son observation pourra être soutenue par une logique
irréprochable, non probabiliste et assise sur un calcul mathématique
des plus simples : une soustraction. Cet électron solitaire
devra en effet être accompagné d’une boucle magnétique
individuelle initialement contenue dans la boucle magnétique
totalisante observée lorsqu’il se déplace en groupe parmi les
milliers d’autres électrons d’un courant électrique et qui boucle
(dit la théorie contemporaine des champs) comme ’’émerge’’ d’un
champ mis ainsi en évidence, champ dit magnétique et qui
emplirait tout l’espace.
Maintenant,
si cet électron solitaire change de direction ou est stoppé
localement avant que d’atteindre l’anode accélératrice, alors cette
anode sera observée recevant un photon quasi pointilliste émis
par l’électron tangentiellement à sa trajectoire et qui peut être
observé sous une nature ondulatoire ou corpusculaire parce que
anneau-soliton quasi pointilliste. Anneau-soliton se propageant
transversalement en ayant un spin droit ou gauche donné par
l’électron émetteur, spin qui ici est l’équivalent de la
polarisation dite de la lumière. Ainsi, en permettant l’unification
(texte à venir) de tout CE QUI EST, en toute logique le modèle de
ce Photon-Anneau-Soliton ne peut être que ce qui a été observé
tout du long du trajet de l’électron sous l’aspect d’une boucle dite
magnétique. Et cette boucle elle-même ne peut être, comme c’est le
cas pour un sous-marin en déplacement dans les profondeurs d’un
océan, que la ’’vague d’étrave’’ en forme d’anneau-soliton produite
par l’électron en mouvement dans un substrat emplissant tout
l’espace, substrat quantifié analogue à un liquide et qui peut
expérimentalement être admis comme étant le repère absolu rejeté
par la relativité.
Il va aussi sans
dire qu’ainsi modélisé le Photon-Anneau-Soliton se propage
comme une vague solitaire se propage dans l’eau, et que de ce fait il ne peut
plus obéir au modèle de Maxwell : sa propagation solitaire ne
se fait pas dans un champ dit magnétique et ne produit pas
une onde sinusoïdale se propageant transversalement à lui dans un
autre champ dit électrique. Autrement dit, ce modèle du PAS montre
que toute la physique idéalisée en l’interprétation mathématique
est à revoir à l’aune d’une réalité unificatrice. Enfin ?
Enfin.
@ + ;
M-A J.