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Commentaire de lloreen

sur De l'injonction d'accueil des migrants et des classes populaires


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lloreen 9 septembre 2015 16:14

Mais de tous les frères Rockefeller, c’est le fondateur de la commission trilatérale et président de la banque Chase Manhattan David qui propulsa l’agenda fasciste de la famille sur la scène globale. Il défendît le Shah d’Iran, le régime d’apartheid d’Afrique du Sud, et la junte militaire de Pinochet au Chili. Il fut le plus grand financier du CFR, de la commission trilatérale et (pendant la guerre du Vietnam), du comité pour une paix effective et durable en Asie, une aventure affairiste pour ceux qui faisaient leur argent et vivaient du conflit.

Nixon lui proposa d’être son secrétaire au trésor (ministre des finances, NdT), mais Rockefeller déclina l’offre, sachant que sa puissance était bien supérieure en étant à la tête de la banque Chase Manhattan. L’écrivain Gary Allen écrivit dans son livre “Le dossier Rockefeller” en 1973 : “David Rockefeller a rencontré 27 chefs d’état, incluant les dirigerants de la Chine et de l’URSS.”

En 1975, après Le coup de la Nugan Hand Bank et de la CIA contre le premier ministre australien Gough Whitlam, son successeur nommé par la couronne britannique se dépêcha d’aller aux Etats-Unis où il rencontra Gerald Ford après avoir rencontré David Rockefeller.

On comprend alors aisément qui tire les ficelles et les identités des responsables. Le fait de faire s’ entretuer les victimes de leur système mortifère entre elles dans des conflits des guerres et des crises a toujours été un de leurs jeux de prédilection.

Promettre le pseudo Eldorado européen à des populations vivant sous le seuil de pauvreté, dans la précarité ou dans des conditions moindres que celles dans lesquelles vivaient les populations européennes avant les privatisations à outrance (vol et recel) n’ est pas difficile, surtout quand ces « réfugiés » sont en plus financés pour quitter leur pays.

La classe moyenne qui a déjà presque tout perdu de son confort de vie perdra rapidement ses dernières illusions. Ceux qui ont encore un travail se rendent compte que le salaire s’ amoindrit à mesure que les années passent et que la retraite sera bientôt repoussée aux calendes grecques.

Les « réfugiés » qui accepteront des salaires de misère et des conditions de travail et de vie précaires mais toujours meilleures que celles qu’ ils connaissaient avant leur départ seront autant de « ressource humaine » jetable et malléable sur un marché du travail en crise.

Au moins, il est facile de savoir à qui profite le crime.


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