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Commentaire de Hervé Hum

sur Effondrement d'un des principes fondamentaux de la physique


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Hervé Hum Hervé Hum 21 janvier 2016 09:31

@Fabien Sabinet

Vous avez raison, l’humain est pétri, tellement bouffi d’arrogance qu’il est prêt à exploser.

Ce ne peut être que Maxwell qui obéit aux équations de la lumières.

Cela dit, vous et moi aussi !!!

Bref, il ne s’agit pas d’être d’accord pour défendre son point de vue, mais pour suivre celui de mère nature. Or, il me semble qu’avec votre commentaire, vous défendez votre point de vue et niez non pas lei mien, mais celui de la relation de causalité de l’onde.

Je vais vous l’expliquer d’une autre manière, tout en suivant strictement, enfin, autant que faire se peut dans le mode de pensée aristotélicien dans lequel vous baignez.

Quelle est la particularité d’une onde ?

C’est de faire réagir le milieu qu’elle traverse.

Ce qui signifie simplement, que ce n’est pas l’émetteur de l’onde qui décide de la vitesse de transport, mais uniquement le milieu traversé. L’émetteur ne peut donc en aucune manière agir sur la vitesse, mais uniquement sur l’intensité, pour faire réagir le milieu plus ou moins fort.

Pour une onde sonore, nous sommes capable d’aller plus vite que l’onde dans son propre milieu et cela produit le bang qui signale cette limite de propagation de l’onde dans le milieu, mais pour ce qui est de la lumière, nous ne pouvons pas aller plus vite. certains dirons que nous ne savons pas, mais que c’est possible.

Oui, c’est possible... Par l’imagination, qui effectivement n’est pas limité par son son milieu physique, sinon, ce ne serait pas de l’imagination. Dans stars war, c’est même très facile !

Pour que votre théorie soir recevable du point de vue du principe de relation de causalité, il faudrait que la lumière soit un corpuscule et non une onde, donc, n’étant pas soumise aux contraintes de son milieu. Et alors, effectivement, on peut faire la composition des vitesses. Le problème, c’est que la lumière se comporte comme une onde et non comme un corpuscule, dans sa propagation, mais comme un corpuscule en tant que transportant un quantum d’énergie. 

ce qui veut dire, que les ondes électromagnétiques ne font pas vibrer le milieu qu’elles traverses,puisque la quantité d’énergie émise est identifiable, alors qu’elle ne l’est pas pour l’onde sonore, mais le font réfléchir. Ce qui défi notre sens commun, car le vide n’apparait pas comme un miroir réfléchissant !

En fait, une meilleur image est celle du ricochet que l’on fait dans l’eau avec une petite pierre plate, mais où il y aurait conservation du mouvement.

Le principe de relation de causalité, conserve une partie du raisonnement actuel autour de la gravité et de la lumière, mais réfute catégoriquement le principe de distorsion de l’espace primordial... C’est une énorme absurdité un big bug de la science. L’espace ne peut en aucune manière être « distordu ». L’espace est statique, unique et immuable, ce n’est que par la fonction temporelle qu’il peut « de-venir » dynamique, divisible, est éphémère.

Ce n’es pas contradictoire avec la gravitation, mais là, pour commencer à comprendre, il faut obligatoirement raisonner à partir du principe de relation de causalité complexe et non aristotélicien (si je mettais mon égo devant, je dirai humien, mais c’est inverser la réalité du sens de la relation). Car comme je l’ai écrit plus haut, c’est vouloir résoudre une équation de 3ème degré, tout en cherchant à résoudre une équation de 1er degré. C’est impossible, car vous vous interdisez vous même de trouver la solution, alors que vous disposez de tous les outils mathématiques mais pas conceptuel, parce que vous voulez absolument tout ramener dans le même espace-temps. Bref, l’impasse des scientifiques est comme rester à croire que la Terre est plate alors qu’il la voient sphérique et en tirent même des équations, mais continuent quand même à préférer voir la Terre plate. On est en pleine aberration. Et les raisons, sont celles que vous dénoncez !


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