A tous mes lecteurs !

Comme vous avez pu le constater alors que tout se passait correctement à la suite de ce premier article publié sur cette plateforme, il a fallu qu’un abruti que je connais bien, du moins virtuellement, et ça suffit déjà amplement, vienne semer le souk.

A vrai dire je ne pensais pas vraiment y échapper et je n’ai même pas essayé du reste gardant le pseudo que j’avais sur les blogs de l’obs ainsi que le même avatar. Cela peut permettre à ceux qui me suivaient sur l’obs, et contrairement à ce qu’insinue ce fameux Jean-Mimi, ils étaient autant de gauche que de droite de continuer. Vous pourrez d’ailleurs vous en convaincre en lisant, si vous en avez le temps et l’envie le dernier billet que j’ai produit et expliquant les causes de mon départ ( http://lavissauve3.blogs.nouvelobs.com/archive/2016/03/06/raisons-d4un-depart-5vlad-580391.html ) Il n’aurait plus manqué non plus que je me planque devant ce grand malade dont un jour, s’il continue dans cette voie, et il n’y manquera pas, car quand on est con on est con, je vous enverrai en liens ses multiples productions, car il n’est pas avare de son temps pour entretenir ses délires, lesquels sont tous dirigées contre d’autres blogueurs. Même une blogueuse décédée a eu à subir post-mortem ses attaques. En fait rien ne l’arrête, que vous soyez mort, vivant, en situation particulièrement difficile (j’évoquais plus haut une personne luttant dans des conditions terribles contre le cancer), tout le monde est bon pour être le réceptacle de la haine du monde qui le tenaille

J’avais au moins sur les blogs de l’obs cette possibilité largement utilisée par d’autres à son encontre, il est en effet connu comme le loup blanc, pas très apprécié à vrai dire et réduit le plus souvent à se commenter lui-même sur ses blogs en changeant de pseudo (et je vous jure que je ne mens pas !), j’avais donc cette possibilité de le virer des commentaires postés sous mes billets. Je n’ai pas manquué d’en user, au moins par respect pour ceux qui avaient quelque chose à dire sous mes billets. Ici, hélas, ça me semble impossible. Donc me voilà, vous voilà condamnés à le subir. Et je vous prie de m’en excuser.
Pour ma part, j’ai à peu près dit ce que j’avais à lui dire, donc je ne réagirai plus à ses délires ici. je le laisserai donc à ses plaisirs solitaires. Et ce qui se passera, se passera ailleurs.

Je vous prie de m’excuser pour ces désagréments dont vous aurez bien compris quel est l’objectif de celui qui les a provoqués.
Merci.