Analysons ce qui est dit de ce journaliste masqué
« Je fais un métier de fou, pas un métier de chien. »
Evidemment, puisque c’est un robot. Un peu d’huile pour les rouages suffisent.
« Je ne suis pas aigri, pas dans une vendetta personnelle mais j’aime bien prendre du recul sur les choses, les gens, mes différents environnements professionnels. »
Evidemment, on les déplace comme on veut... Ils sont très dociles.
« Les journalistes sont (au choix) naïfs ou suspicieux, jaloux ou généreux, pédants ou attachants, complaisants ou désintéressés, etc. »
Cela dépend du comment on les a programmés.
« Ils assènent la vérité, on leur rétorque l’indiscrétion. »
Cela fait partie de l’automatisme.
« Ils brandissent leur carte de presse, on leur demande leur fiche de paie ».
Qu’ils ne peuvent pas donner évidemment. Qu’est-ce qu’ils en feraient ?
« Ils parlent de liberté de la presse, on leur balance leur tropisme socialo-communiste (ou judéo-maçonnique, Illuminati, américano-européiste… à débattre). »
Encore une fois, tout dépend du programme.
« Le journaliste est un être humain (si si…). »
« Ce blog et son compte Twitter sont des instruments de survie, une hygiène mentale pour sortir la tête de l’eau (saumâtre) ».
Là, il faudra rechargé les batteries. Elles commencent à flancher.
« C’est quoi finalement un journaliste ? Le journalisme ? Un peu de tout ça… »
C’est du numérique avec des algorithmes intégrés.