• AgoraVox sur Twitter
  • RSS
  • Agoravox TV
  • Agoravox Mobile


Commentaire de MILLA

sur Où va Soral ?


Voir l'intégralité des commentaires de cet article

MILLA (---.---.1.10) 2 juin 2016 15:17

La DGSI oriente le renseignement vers la menace d’extrême-droite et ses réseaux d’activistes bien réels

Les guignols de l’extrême-droite folklorique des groupuscules cachent des réseaux plus sérieux.

Chauprade ou le Général Piquemal sont les têtes émergées de l’iceberg, c’est au sein même de l’armée que se trouve « l’armée de réserve ».

Quelques hauts gradés sont liés à des réseaux puissants comme ceux de Robert Spencer/Pamela Geller, ils ont des relais au sein du groupe parlementaire des Libertés à Strasbourg, Geert Wilders au premier chef, et Marine s’est entourée d’agents de Jihad Watch, et les Identitaires sont à même de fournir des activistes embrigadés.

Les cadres de l’armée pouvant compter sur une armée de mercenaires qui ont besoin d’argent et qui sont prêts à se mettre à leur service le doigt sur la couture.

Ces réseaux au sein de l’armée ne sont pas que reliés à Jihad Watch, mais également aux plus puissants lobbies libertariens, qui sont parmi les plus influents au monde, et qui ont réussi à s’adosser à des marges de l’Eglise, les traditionalistes via l’Opus Dei.

Leur but est la déstabilisation de l’Etat.

On les retrouve déjà dans certaines actions violentes lors de manifs (Printemps Français dont Action Française).

La volonté est clairement de déstabiliser l’Etat, et de tenter le coup d’Etat.

Cela peut paraître farfelu, mais eux du moins y croient et sont formés à cela.

Ils profiteront de toutes les failles, de toutes les faiblesses.

Leurs lobbies, dont le maillage est impressionnant, depuis une vingtaine d’années qu’ils croissent et se structurent en France, Europe, Russie, utilisent déjà des procédés de manipulation tous azimuts.

Ils attendent le grand soir, le choc des civilisations qu’ils appellent de leurs vœux, suivi du grand chaos qui amènera le « meilleur ordre libéral ».

Attentats : la peur de la réplique de l’ultra-droite Lors d’une audition à l’Assemblée nationale, Patrick Calvar, le directeur général de la Sécurité intérieure, a indiqué être « en train de déplacer des ressources » pour surveiller l’ultra-droite par crainte d’une « confrontation ». Fantasme ou réel danger ? LEXPRESS.FR


Voir ce commentaire dans son contexte





Palmarès