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Commentaire de Hervé Hum

sur La monnaie du XXIème siècle... La révolution des citoyens responsables


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Hervé Hum Hervé Hum 14 juin 2016 14:37

@Paul

L’objet de mon article est d’expliquer la règle de l’ordre d’apparition des nombres premiers. C’est la règle elle même qui dit qu’il est absurde de chercher une formule pour trouver n’importe quel nombre premier, car la formule est plus longue que le chemin lui même. C ’est d’ailleurs ce que Guillemant explique avoir découvert !

Dans un commentaire précédent, je donne une explication de la raison en comparant avec des systèmes ou la règle de départ est au contraire très simple, mais évolue en complexité infini (ex, jeu de go ou fourmi de Langton).

C’est toujours les mathématiques, avec l’étude de la règle de l’ordre d’apparition des nombres entiers naturels, qui explique l’essentiel de ses propriétés, tout comme pour les nombres entiers premiers diviseurs. C’est ici qu’est la subtilité du décalage d’un demi-espace-temps dans ma façon de raisonner et celle communément admise et sur laquelle tu te fonde diffère. Le principe de relation de causalité implique un ordre temporel et spatial. ce qui est contraire au postulat des mathématiques pour qui, les notions d’ordre temporels et spatiaux ne s’y applique pas ou uniquement de manière abstraite ou par commodité, mais pas de manière absolue.

En fait, pour les mathématiciens, il y a la géométrie qui donne le canevas sur lequel se base les mathématiques, sauf que, dès lors où on donne une mesure de cette géométrie, alors, on fait entrer mécaniquement des valeurs spatio-temporelles qui prennent des formes physiques, matérielles.

Ainsi, écrire la suite des nombre entiers naturels 1 ; 2 ; 3 ; 4 ; etc,est décrire une réalité physique qui n’a rien d’abstrait, car elle ne peut être écrite que sous certaines conditions physiques et uniquement physique, soit, de disposer de repères et de quantums permettant d’établir cette suite.

Ici, la réponse est d’une telle trivialité que l’aberration humaine se traduit par sa volonté de chercher la complexité là où elle n’est pas, c’est à dire, dans son développement, alors qu’elle est toute entière contenu dans sa genèse.

Autrement dit, dans les conditions nécessaires pour permettre d’écrire la suite des nombres entiers naturels.

D’ailleurs, je te pose la question, quelles sont les conditions requises pour pouvoir écrire un suite de nombres entiers naturels ?


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