@olivier cabanel
Olivier a inventé la mondialisation heureuse... !!
Pour l’instant, la mondialisation, c’est un désastre humain et écologique.
« Le FMI fait son mea culpa :
»(..)
Les économistes déroulent
en effet une série d’arguments solidement étayés, qui sont autant de
critiques en règle des politiques de dérégulation menées partout dans le
monde depuis quarante ans, sous l’égide…du FMI ! Mieux vaut tard que
jamais.
L’article égratigne en particulier deux piliers de la
doctrine économique dominante : la libre circulation des capitaux, et la
priorité donnée à la réduction des déficits.
Contrairement à ce
qu’affirmait la théorie orthodoxe, constatent les économistes,
l’ouverture des marchés de capitaux n’a pas eu - c’est un euphémisme -
que des effets positifs pour les pays qui l’ont mis en œuvre. Certes,
elle a permis un afflux de liquidités utiles à court terme. Mais elle a
rendu les Etats qui l’ont pratiquée dépendants des investisseurs
étrangers. Pour peu que ceux-ci prennent peur, et décident de quitter
massivement le pays, et ce dernier est bon pour une bonne récession,
voire pour une violente crise financière dans les cas les plus graves.
Ce fut le cas, par exemple, pour les pays touchés par la crise asiatique
de 1997. Une crise qui portait déjà en germes les folies financières
qui allaient emporter l’économie mondiale une décennie plus tard."