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Commentaire de velosolex

sur 1966 : un goût de sucettes


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velosolex velosolex 26 novembre 2016 16:23

Gainsbourg était un personnage pervers et névrosé, qui adorait se foutre du monde, et humilier..... Les emprunts et les abus sont légions, dans sa vie, dans ses chansons. Avant internet, il était facile en effet de piquer des tubes aux Africains, cubains, et brésilien sans qu’ils n’en sachent rien....Ne parlons pas du répertoire classique qu’il siphonna comme un réservoir de bagnole ; le soi disant génie de l’auteur doit donc être pas mal diminué de ces retours de caisse. 

Un type donc pour moi surdimensionné, ayant le sens de la pub, à travers moult provocations, et dont le show bizeness nous envoie de multiples avatars : Dutronc ( odieux, pervers, qui a tenté de s’attribuer le génie de Lanzman dans "il est cinq heures) Depardieu ( inutile de faire l’inventaire des frasques de ce type qui serait resté videur s’il n’avait pas été pris sous la coupe d’Agnés varda qui passait par là), Renaud ( passé de persifleur de bourgeois à amoureux des flics).....Les sucettes inaugurent le lemon incest qu’il fera chanté à sa fille Charlotte sous l’oeil complice d’un public subjugué alors que n’importe quel citoyen lambda aurait eu droit à un signalement. De flirter sans cesse avec la ligne jaune, Gainsbourg deviendra de plus en plus Gainsbarre...J’ai entendu dernièrement le témoignage de Bashung qui va tout à fait dans ce sens...


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