Dernieres questions subsidiaires : 

comment qualifiez vous le fait de pénétrer l’anus de quelqu’un contre son gré avec un objet, qui soit dit en passant est une arme également ?

Pour vous cela n’est pas un viol ?

Le fait que la penetration ait-été diagnostiquée sur 10 cm apparemment ne vous met pas la puce à l’oreille quant au déroulement des faits ?

Avez vous deja pratiqué une sodomie ? 

Ne relevez-vous pas un certain nombre d’incoherences dans le rapport stipulant que ce n’est pas un viol ? Que cela ne serait finalement qu’un égarement ?

comment pouvez vous voir dans le fait de défendre une victime de viol un soutien quelconque à une fantasmée islamisation de la France (autre débat certes mais c’est vous qui le ramenez après tout) ?

Je ne saisis pas le lien que vous établissez ici. Pourriez-vous m’éclairer la-dessus également ?

N.B. :

Cette affaire fait réagir évidemment, c’est pour cela que les medias s’en donnent a coeur joie, que les pseudos scribouillards tentent vainement d’en faire une synthèse approximative et poussant a la caricature et invitant une fois de plus à stigmatiser les habitants des quartiers une fois n’est pas coutume (je ris jaune) ; cette histoire touche à l’affect des uns et des autres mais comme d’habitude certains plus que d’autres, certains de façon plus réelle que d’autres. 

Notons que l’affect et l’empathie sont deux choses bien normales et tout à fait humaines. 

Le racisme et l’opprobre aussi. 

La lâcheté et la malhonnêteté aussi. 

L’ignorance et l’inconscience tout autant.

Au final les commentaires sont de « doux reflets ».

Reflets de nos sensibilités, à chacun.

Quel est donc le sens de la haine et de la peur qui transpirent depuis des commentaires de gens qui, tout comme moi, ne savent rien de cette affaire, hormis le rapport medical et celui de la police (je passe sur le traitement hystérique de l’affaire de la part de certains medias et politiciens). 

Ceux qui ont eu affaire à un médecin référent de la police, après que celle-ci l’ai par exemple blessé, savent à quel point le diagnostic de ce dernier décharge dès que possible de ses responsabilités l’agent fautif (ou un peu trop poussif, cela arrive aussi). C’est ainsi. Un certain Amaury qualifierait cela de « chronique du réel ».

Par contre tout le monde je pense, est apte à comprendre que le diagnostic d’un médecin indépendant est par definition objectif et se base sur l’observation directe. 

A partir de ces simples postulats, pourriez vous justifier désormais tous vos propos ?

Tous ?