@louis.deredon
faudrait surtout corriger cette expression « gaz à effet de serre » qui sert d’épouvantail et conduit à des conclusion stupides !
Un gaz ne rayonne pas : prenez un chalumeau et approchez le parallèlement à votre visage.
Par contre, un liquide ou un solide rayonne et c’est comme cela que les gouttes d’eau des nuages peuvent intercepter le rayonnement terrestre et en renvoyer la moitié à chaque interception dans la couche de nuages.
Pour un réchauffement climatique de +
1°C à T=288K (15°C) :
- le rayonnement du sol augmente de
1,4% (4*dT/T)
- l’humidité de l’air augmente jusqu’à
6%
C’est de la PHYSIQUE et pas de la
SORCELLERIE
La planète recouverte à 75% d’eau, à
70% de nuages se refroidit principalement par les zones non masquées par les nuages,
30%
Augmenter de 6% les nuages, c’est
réduire de 16 % les zones de refroidissement et donc le
refroidissement d’autant ! c’est +10 fois plus que
l’augmentation de rayonnement du sol !
Il suffirait donc d’une augmentation de
l’ordre 0,5% de la surface des nuages pour bloquer un réchauffement
de 1° au sol.
Il n’est donc pas nécessaire de faire
appel au surnaturel pour justifier du réchauffement constaté et de
simplement économiser l’énergie, évitant avant tout le nucléaire (sauf cogénérateur) qui rejette directement 75% de l’énergie primaire sous forme de chaleur.
Mais la COP21 se contente de faire de la comptabilité de gaz à « pseudo effet de serre » et donc laisse intact le problème, voire le renforçant en incitant à construire de nouveau réacteurs (200 en prévision !)