@Le421
Non je pensais surtout soit à des salariés employés comme
« professeurs » (des chaires), ce qui se fait pas mal dans les pays
anglo-saxons et parfois en Allemagne. Ou bien ouvrir des formations
selon les profils aux demandeurs d’emploi, au lieu de se cantonner à des
« types de contrats » ou « statuts », où tu en apprendrais tous les jours
en restant en entreprise.
Le double avantage, c’est d’investir
dans un plan très rentable car le nouvel employé est formé à ce que veut
l’entreprise, mais en plus de pouvoir potentiellement augmenter le
nombre de personnes recrutables - au lieu de se plaindre que l’école ne
fait pas son boulot.
On ne peut pas avoir le beurre et l’argent
du beurre, contrairement à ce que croit ce fumier de Gattaz. Impossible
de mettre tout le monde au chômage et que les entreprises puissent
écouler leurs produits parce que personne ne pourra les acheter,
improbable de créer un avenir instable pour l’employé et lui demander de
trouver un logement (surtout avec les prix actuels).
Mais il en
est de même pour l’école. Si les professeurs créent des programmes
seulement pour assurer leur salaire et avenir professionnel le nombre de
chômeurs ou de personnes surdiplômées dans des boulots de merde
augmente, le métier et le secteur de l’éducation sont dévalorisés car
l’école n’est plus le dernier rempart contre les entrepreneurs véreux et
le chômage.
Rentabilité maximum comme aujourd’hui = tout le monde est perdant.