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Commentaire de Pascal L

sur Gnosticisme... la grande hérésie


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Pascal L 23 novembre 2017 19:25

@Gollum
Votre citation n’invalide en rien mon discours, les paraboles sont limpides pour la plupart des chrétiens et il ne passent pas par une lecture ésotérique. Demandez donc à un Chrétien pratiquant de vous expliquer n’importe laquelle.


« Tout le monde comprend l’amour… Mon chat aussi. »
Votre chat et beaucoup de monde comprennent l’amour de manière intéressée. Le Christ vous aime sans vous demander de contrepartie. Il vous offre un salut gratuit au-dela de votre mort, mais ce salut vous impose de vivre éternellement dans l’amour. Je conçois parfaitement que vous ne soyez pas intéressé et cela ne regarde que vous.

Si vous voulez une réflexion métaphysique un peu conséquente de la part d’un Chrétien, je vous conseille la lecture de « sciences de l’Univers et problèmes métaphysiques » de Claude Tresmontant. Beaucoup de grands scientifiques sont chrétiens. Des académiciens le sont également.

« en ce qui concerne le salut du Christ il faudrait pour cela que je me sente en péril »
Le salut du Christ n’est pas pour la vie que nous vivons, mais pour après. Il n’y a que très peu de chances que le Christ vous sauve d’un péril dans cette vie, sauf s’il sait que cela peut vous pousser à accepter son salut.

« vous comprenez l’amour vous ? » Bizarrement, maintenant, je n’ai aucune animosité contre vous. Je regrette juste de ne pouvoir partager avec vous tout le bonheur que j’ai reçu du Christ et j’espère que cela sera possible plus tard. L’amour c’est quelque chose que l’on reçoit et que l’on donne, mais le donner ne nous prive pas d’une parcelle de ce que nous avons reçu, alors pourquoi être parcimonieux ? J’ai vidé mes placards de tous les cadavres qu’ils contenaient et je me suis réconcilié avec tous ceux qui m’ont fait du mal. La dernière fois que j’ai pardonné à quelqu’un qui avait fait du harcèlement moral avec moi, il a fait un bon en arrière lorsque je suis allé le saluer (après avoir arrêté de travailler avec lui, je ne suis pas maso). C’est donc bien lui qui vivait avec ce problème, ce n’est plus moi à partir du moment où j’ai décidé de pardonner.

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