En ce qui concerne l’élimination des adjuvants aluminiques, on peut étudier le document de l’académie de médecine suivant :
http://www.academie-medecine.fr/wp-content/uploads/2013/10/adjuvants-vaccinaux-rapport-ANM1.pdf
Cependant, page 6, ils montrent leur incompétence basique en chimie, car ils infèrent que l’aluminium pourrait être éliminé par chélation avec des acides (citrique, lactique, malique).
Or, au pH physiologique ( 7), ces acides n’existent pas, ils sont sous forme de citrate, de lactate et de malate.
Mais admettons cette faute mineure. Le plus grave, c’est qu’il prétendent que la stabilité des complexes formés par l’ion aluminium avec ces carboxylates sont plus stables que l’hydroxyde d’aluminium, qui est la forme d’intromission de l’aluminium avec ces vaccins.
Ceci est en totale contradiction avec les connaissances que les chimistes avons accumulées depuis plus de deux siècles, à savoir que l’hydroxyde d’aluminium à pH 7 est l’hydroxyde le plus stable et le plus insoluble de tous les hydroxydes [produit de solubilité = 10^(-32)].
Il ne peut donc être éliminé que par le flux sanguin, sous forme de minicristaux. Ceux-ci peuvent peut-être passer la barrière rénale, mais peuvent aussi s’accumuler dans les capillaires, où ils conservent leurs propriétés inflammatoires, puisqu’ils ne peuvent pas être détruits, à moins de laver les capillaires avec de l’acide chlorhydrique 0,01 mol/L ou par de la soude à la même concentration.