@Jonas
Excusez-moi : j’avais relu trois fois votre liste sans voir la mention de ce conflit. Sachant qu’elle y est après vous avoir lu, je la trouve immédiatement ! C’est peut-être à cause qu’y voyant mal, je lis du blanc sur fond noir, et je laisse souvent passer pour la même raison des fautes de frappe ou de ponctuation dont je ne m’aperçois que trop tard.

A propos de l’utilisation dans l’islam des enfants comme chair à canon (on est en plein dans le sujet de cet article) je recommande la lecture d’un très long extrait du bouquin de Matthias Küntzel dont j’ai souvent recommandé la lecture sur ce site, parce qu’il permet de comprendre avec toutes les références historiques dûment précisées dans les notes, l’origine du conflit israélo-palestinien.

MASSACRE IRANIEN DES INNOCENTS - A LIRE ABSOLUMENT :
http://www.matthiaskuentzel.de/contents/les-demons-d-ahmadinejad

Ce que les naïfs qui se contentent de lire et de recopier la propagande qu’ils vont pêcher sur l’Internet et qui est à peu près aussi conforme à la réalité historique que peuvent l’être les manuels d’histoire en usage dans les territoires de l’Autorité ou dans les écoles de l’UNRWA à Gaza, c’est que le monde arabe, particulièrement en Egypte, était aussi favorable que put l’être constamment un Churchill, à la création d’un foyer juif en Palestine après la déclaration Balfour. Et cela jusqu’à ce que les Anglais fassent la sottise, au début des années 20, de remplacer le mufti de Jérusalem mort prématurément par son demi-frère Mohammed Amin al-Husseini, le futur nazi.

Mutti Merkel aura fait la sottise d’accepter en Allemagne des centaines de milliers de migrants Syriens dont on ne peut pas dire qu’ils aient le plus lointain rapport historique avec la culture allemande, lesquels seront très difficilement assimilables. Les Arabes de Palestine, qui étaient pourtant eux-mêmes pour la plupart les descendants de migrants, auront adopté un comportement tout à fait opposé vis-à-vis d’autres migrants dont toute la culture trouvait, elle, ses origines dans la région, et qui apportaient avec eux le savoir et les techniques européennes les plus modernes et les plus capables de transformer en peu d’années une région où une antique agriculture pastorale n’aurait jamais permis le commencement de ce décollage économique espéré par les Anglais comme par les élites politiques et intellectuelles de l’Egypte. On voit aujourd’hui les conséquences de cette obstination palestinienne dans l’obscurantisme : un des plus énormes gâchis dont l’histoire du monde puisse nous donner le spectacle.