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Commentaire de Philippe VERGNES

sur Les mésaventures de « droit dans ses bottes II » volume 1


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Philippe VERGNES 4 mars 2018 18:27

@ JL,


« Vos méthodes de violeur de conscience me débectent. »

Ce qui pourrait éventuellement me débecter - si comme vous l’imagine (délire) je vous haïssais -, ce serait quelqu’un qui pourrait écrire « je ne lis pas vos articles creux, vides, etc. », « vous ne m’êtes rien », « vous êtes un manipulateur », « vous êtes un pervers narcissique » (ou insinuez de tels propos) et poursuivre un auteur de sa vindicte depuis 6 ans en lui apportant la contradiction sur un sujet ou il est patent que vous vous vantez d’avoir des compétences que vous n’avez jamais eues sur des œuvres que vous n’avez jamais lues. Ce qui est propre et commun à tous les imposteurs.

Sinon, sur le fond de votre commentaire : « Pour ce qui concerne la conscience, laissez moi vous dire que personne n’a votre talent ni votre opiniâtreté pour piétiner autant le principe de réalité. Pour faire de l’argent dans les affaires, il faut tenir du principe de réalité sans quoi c’est la ruine assurée. »

C’est bien là toute la différence entre vous et moi, car j’approuve à 1000 % cette citation de J. Krishnamurti : « Ce n’est pas un signe de bonne santé mentale que d’être bien adapté à une société malade ». Or, pour faire de l’argent dans les affaires, de nos jours, il faut être un habile manipulateur. Ce n’est pas pour rien que l’on enseigne aujourd’hui le neuromarketing dans les écoles de managements.

Votre vision des choses parle pour vous : le principe de réalité = manipulation d’autrui. Ce n’est pas ainsi que je conçois la vie et les relations humaines. Tout au contraire .(Je prends ainsi votre première phrase comme un hommage du vice à la vertu.)

Sur votre autre paragraphe : « Je n’ai en aucune façon essayé de vous discréditer, mais si vous le croyez, vous êtes stupide de me chercher querelle, puisque vous ne savez rien répondre d’autre que vos absurdes copiés-collés éculés. J’ai seulement tenu à marquer notre différence. Vos méthodes de violeur de conscience me débectent. »

D’autres intervenants que moi, et ils ont été nombreux, vous ont déjà mis le nez dans vos excrets de la disqualification outrancière à laquelle vous vous livrez sous chacun de mes articles. Lorsque j’emploie le terme de disqualification à votre encontre pour dénoncer votre attitude hostile à mon égard, c’est au sens où l’emploie Dider Anzieu dont les travaux m’ont servi de base à la rédaction de cet article... et nul autre.

Il est donc bien évident, à lire et comprendre cet article, ainsi que vos interventions y ayant succédé, que vous ne connaissez strictement rien de rien au sujet sur lequel vous vous faites fort de m’apporter la contradiction. Mais alors... rien de rien, ce qui fait de vous une sorte de champion de la disqualification... qui s’ignore totalement.

Débecter : mot argot signifiant « vomir », « dégoûter », « répugner ».

Or, « le dégoût est plus proche de la haine que du mépris ». Je suis donc bien avec vous comme contradicteur, dans la situation de quelqu’un qui me hait mais projette cette haine sur moi en inversant les rôles et en tentant de me faire subir une « injection projective » par « identification projective ». Ben ça... c’est la définition de la paranoïa de caractère et des pathologies narcissiques perverses.

Je n’y peux strictement rien si, à chacune de vos interventions, vous vous acharnez à nous en faire la démonstration.

 smiley


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