’’D’en bas jusqu’en haut avec le Macron, c’est les pieds nickelés font du
ski : toujours sur une pente savonneuse savonneuse, au point que notre
« démocratie » ressemble à une congère sans fond, oups, pardon, à des
cons qui gèrent dans le fond ! ’’
Bien dit ! Mais, avec Macron seulement ? Avec Sarkozy c’était pas pareil, vous croyez ?
Et pendant ce temps, Rosanvallon s’en va sur les radios nationales gloser contre les populismes qui selon lui « haïssent les contre-pouvoirs » ! Sic ! A quoi je réponds : Nicolas Sarkozy qui haït la Justice serait donc un populiste ?
« Entre le fort et le faible c’est la liberté qui opprime et la loi qui protège ».
Pierre Rosanvallon a tout faux. Le populisme est un contre-pouvoir, à l’argent !
Ce sont les « élites », aujourd’hui tous néo-libéraux, qui haïssent les contre-pouvoirs, ce n’est pas notre spartacus qui nous démontrera le contraire.