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Commentaire de Christian Labrune

sur Salafisme un mal que la France n'ose pas éradiquer


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Christian Labrune Christian Labrune 14 décembre 2018 21:32

Certains musulmans dits « modérés » et non fichés S se réjouissent secrètement des attentats

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@Gauloise très réfractaire

Je suis bien d’accord, et c’est précisément ce qu’il y a de plus préoccupant. Hier, sur une autre page, je m’accusais d’avoir été con, il y a quelques années. En effet, après les premiers grands attentats sanglants, je m’étais dit  : les musulmanes que je vois sur le marché de Belleville vont enfin cesser de se couvrir du sac à patates que les imams leur imposent, elles ne voudront pas qu’on puisse les associer à l’islam radical. Eh bien, c’est exactement le contraire qui s’est produit : les voiles islamiques ont immédiatement proliféré, de plus en plus couvrants, de plus en plus semblables à ceux des femmes de Mossoul et de Raqqa au moment même où l’Internet commençait à être envahi par les scènes de décapitation que le Califat exhibait quasi quotidiennement.
J’étais allé attendre à la porte de Vincennes ces cars qui avaient traversé l’Europe, des « muslims against terrorism » réunis par Chalgoumi et quelques autres imams. Les manifestants venus les soutenir étaient moins nombreux que les policiers. Moins d’une cinquantaine ; apparemment, des Français « de souche », beaucoup portant kippa.
Le dispositif policier était considérable (il y avait même un tireur d’élite en civil, lourdement armé) parce que ces imams étaient menacés de mort. Le pauvre Chalgoumi lui-même, exécré par ses coreligionnaires, bénéficie désormais d’une protection policière constante.
Quand les banlieues vont se réveiller, ce sera vraiment l’horreur qu’entrevoyait Collomb le jour de sa démission.

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