@njama
Que de belles affirmations non-sourcées.
Voyons ce qu’il se passe quand on inverse les termes de cette tribune pour les faire coller à la rhétorique de l’antivaccinalisme ... Oh beh chouette alors ! Ça marche aussi tiens !
"[......] La généralisation de l’antivaccinalisme relève d’abord d’une idéologie ! Nullement désintéressée !
Malgré un habillage scientifique, il y a surtout une religion dans
laquelle chaque acte d’anti-vaccination tient lieu de baptême, puis de communion,
d’allégeance au corps anti-vaccin… au prix de rougeoles rituelles,
voire de papillomavirus humains, pour conjurer les effets secondaires, divinité
maléfique. Ainsi va-t-on jusqu’à célébrer (sic) la semaine sainte de l’anti-vaccination9 ! Parmi les brebis de l’inefficacité vaccinale, certaines
trouvent dans l’anti-vaccinalisme plutôt que la santé, le moyen d’apaiser leur
angoisse de la maladie et de la mort. Et, toute religion se voulant
incontestable et universelle, la France, fille aînée de l’anti-vaccination10, comme elle le fut (l’est ?) de l’Église, est depuis toujours
au premier rang de cette Croisade, de ce djihad… pour combattre,
soumettre, occire les mécréants, les infidèles… les vaccinateurs !
La plus élémentaire liberté de l’individu est d’être maître de son
corps et la société ne peut en disposer. Accepter ou généraliser l’antivaccination est d’abord une forme d’oppression, un pas vers la
soumission : la promesse de la santé par l’anti-vaccination, surtout
collective, n’est qu’un prétexte au service de quelques-uns !
Il est temps que la France, fière de sa médecine libérale, rétablisse
et fasse respecter la liberté en matière d’anti-vaccination, comme de tout
traitement médical. [...]
Aimer et protéger ses enfants, c’est d’abord regarder à deux fois lorsqu’il est question de ne pas les faire vacciner"