@Ouallonsnous ?
Suite de mon post :
2/ Après l’« accident » métaphysique, deuxième
hypothèse : l’accident laïc. Ou l’accident tout court. Il a
été présenté d’emblée sans enquête approfondie et pourtant de manière
péremptoire par les Autorités comme la version privilégiée. D’où le fait qu’on
ait entendu un très autoritaire ’version à privilégier’, alors même qu’elle a
été décrite comme improbable par un expert. Et il s’avère qu’un tel évènement
arrangeait parfaitement les desseins d’Emmanuel Macron. Persuadé du caractère
inéluctable de l’échec de son allocution, parce qu’il sait que cette affaire
des Gilets jaunes a peu de chances de s’arrêter tant ces gueux veulent sa
démission, que la répression n’a pas eu l’effet escompté, bien au contraire le
mouvement s’est radicalisé et ils ne lâcheront rien, qu’il n’en est pas à
exclure la dissolution de l’Assemblée mais l’hypothèse s’exclut d’elle-même à
proximité des Européennes, et au fur et à mesure que l’on s’approche de l’heure
fatidique, puisqu’il a été capable de l’idée géniale du Grand Débat il aimerait
se donner encore un peu de temps pour en trouver une autre et tester ses
décisions sur les journalistes et les commentateurs politiques, ce qu’il n’a
pas pu faire parce que ces affidés, eux, veulent une allocution solennelle et
des surprises à la hauteur du génie de leur demi-dieu. Et c’est alors que
l’évènement inespéré survient.
On appelle
cela une coïncidence ou de la synchronicité (Ce n’est pas de
la métaphysique mais on n’en est pas très éloigné, car ça tient souvent du
petit miracle vu le haut degré d’improbabilité. On parle aussi de providence en
théologie).
Emmanuel
Macron était dans une panade sans issue apparente, et, miracle, une heure avant
la diffusion de l’enregistrement de son allocution le feu démarre de la manière
la plus inopinée et inimaginable qui soit dans les combles de la cathédrale,
créant un immense brasier traumatisant l’édifice et les esprits du monde
entier. Les travaux de rénovation en cours ne semblent pas pouvoir être
suspectés puisque les ouvriers n’en étaient encore qu’au stade du montage de
l’échafaudage, et qu’on ne met pas le feu à une poutre en chêne avec un mégot de
cigarette jeté sur
elle par inadvertance, et cela d’autant moins que les ouvriers étaient sur le
toit et non dessous. Avec la récente restauration du système électrique,
le haut niveau de sécurité incendie et la présence en permanence, 24h/24, de
deux agents, l’ancien architecte en
chef de Notre-Dame, Benjamin Mouton ne comprend pas ce qui a bien pu se passer. Un autre
expert, anonyme, convoqué par un média
européo-israélien voulant
souffler sur les braises, ne peut concevoir qu’ « une forte charge
calorifique » au départ du feu. Tandis que la mosquée Al-Aqsa à
Jérusalem subissait
un début d’incendie au même moment qu’à Notre Dame, venant accréditer
l’hypothèse d’une synchronicité mondiale. Se trouverait-elle confirmée par la
coïncidence survenue sur le plateau de
’N’oubliez pas les paroles’ de Nagui, où, à la même heure, une des candidates choisit de
chanter la célèbre chanson « Belle », tirée de la comédie musicale
« Notre Dame de Paris », et enchaina par la chanson :
« Allumez le feu » !
Pour qu’il
s’agisse bien d’une coïncidence, il faut une synchronicité de très haut
niveau, d’une improbabilité quasi-absolue, le vrai miracle en somme. Et ça
existe. N’est-ce pas Emmanuel (pas notre Président, Son fils ! [Non, pas à
Macron ! A Dieu ! Y’a un ’s’ majuscule tout de même ! Et notre
président lui n’est pas roi, il est juste Jupiter. Et il n’a pas d’enfants...
Enfin peut-être... mais bon, ne compliquons pas les choses s’il vous plait, la
situation, déjà, n’est pas des plus simples]) ? Et ne me demandez pas de
vous décrire le scénario, la succession de tous les improbables évènements
pourtant bien réels s’articulant dans une telle hypothèse, et menant au premier
feu précédant l’incendie, je n’ai pas assez d’imagination.
3/ Troisième hypothèse : l’attentat. N’en
déplaise à Madame Loiseau, celui-ci est une hypothèse recevable. Cette ancienne
ministre amnésique, oublieuse de son passé d’extrême-droite, et tête de
liste LREM aux Européennes boutée d’Orléans par les Gilets jaunes, a jugé que
Nicolas Dupont-Aignan méritait « deux claques » pour le
seul fait d’avoir questionner la cause de l’incendie. Pas un simple rappel à la
Raison, non, pas un procès éventuellement, pas une claque : deux !
Pour le seul motif d’avoir mis en doute la conviction du Procureur de la
République et de notre extralucide Castaner privilégiant l’accident. Et il
n’évoquait même pas l’hypothèse d’un complot !
Or non
seulement l’attentat ne peut être écarté d’un revers de main, mais on peut même
considérer comme une faute morale, politique, et même philosophique le fait
d’exclure l’action d’un déséquilibré, autrement dit l’attentat pathologique,
source potentielle par ailleurs de coïncidences en raison du caractère
profondément irrationnel de la folie. A New-York le mercredi 17 avril par
exemple, soit deux jours plus tard, l’homme arrêté à la
cathédrale avec de l’essence a bien « été hospitalisé pour évaluation
psychiatrique ».
Concernant
l’hypothèse d’un attentat politique, on observe qu’à cette heure il n’y
a eu aucune revendication, ce qui tendrait à écarter cette hypothèse. Même
Daech n’a pas revendiqué l’incendie quand, dans le passé récent, l’organisation
s’emparait en général de tout évènement dramatique ou à forte portée
symbolique.