Il
y a deux aspects au problème Carrefour Brésil.
Le
premier est l’éventuel comportement
de Carrefour sur lequel je ne prendrai pas position, ayant quelques idées sur
le fonctionnement des rouages du capitalisme exclusivement financier par nature
dérégulé. Il fallait bien s’attendre à ce qu’un jour, à force de déréguler pour
libéraliser, la machine s’emballe et sorte des rails de la justice et du droit
tel que des siècles avaient tenté de le dire avec les imperfections que l’on sait.
Mais ce n’est pas cet aspect de la question qui m’intéresse ici.
Ce
qui m’intéresse, c’est que personne ne semble prendre en compte le fait
pourtant évident que le Brésil appartient au continent américain !!!
C’est-à-dire
un continent sur lequel les U.S.A./N.O.M. et consorts entendent régner économiquement et sans partage, et ce dans le plus court
terme possible.
Traduction
libre : À de très rares exceptions près négociées sous influence de Washington,
Il ne doit pas y avoir de place économique significative, pour la contre-europe
sur les marchés nord et sud-américains.
Et
a fortiori, il ne doit pas y en avoir pour une France déjà considérée sous totale
tutelle du N.O.M. grâce :
-
Aux qualités, compétences et vertus patriotiques de sa classe politique
-
À la perspicacité civique, patriotique, et socialement économique des restes de
son peuple !!!
Toutes
choses qui, à terme, risquent de ne pas plus faciliter la survie de Carrefour
au Brésil (où la corruptibilité n’existait pas plus qu’en France ou aux États-Unis,
c’est bien connu !) qu’elles n’ont facilité l’implantation de Citroën aux
U.S.A. ou l’activité boursière française à Wall Street…
Est-ce assez clair ???