Il paraît que la crise rend les riches plus riches et les pauvres
plus pauvres. Franchement, on ne voit pas en quoi c’est une crise. En
2008 c’était une crise des banques, les états ont renfloués les
coffres forts des banquiers afin qu’ils puissent recommencer à jouer
en Bourse avec le pognon des contribuables. Aujourd’hui, nous
traversons une crise des états qui s’endettent sous couvert de la
relance. Les états empruntent aux banques à des taux frôlant moins
de 0 %. Les banques laissent faisander les choses, et au moment
opportun vont augmenter les taux d’intérêts. Puis, les états
surendettés ne pourront plus rembourser c’est déjà le cas puisque
il n’y a plus de travail. En fait, c’est un remake de la crise des
subprimes sauf que se sont les états aujourd’hui les dindons de la
farce à la différence de 2007 qui était les banquiers.
(La
crise des subprimes
(en anglais : subprime
mortgage crisis)
est une crise
financière qui a touché le secteur des prêts hypothécaires à
risque (en anglais : subprime
mortgage) aux États-Unis à partir de juillet 2007.)
.
La seule issue à ce
dilemme restera la guerre mondiale. Il faut vraiment être naïf pour
croire que les banquiers vont renflouer les caisses des états. Ben
voyons... Les banquiers endettent les états dit démocratiques et
mettent à leur place des dictateurs pour que dans un premier temps
ils fassent semblant de canaliser leur peuple et pour finir se
retourneront contre leur peuple (Assad).
https://youtu.be/azCC6MOmpWU.