UNE REPONSE POSSIBLE :
Que dire à l’inverse de cette histoire sur une prof de français alliée à une cpe qui met en échec toute une classe sauf un élève qui lui sert de délateur aux dépens de ses camarades :
Début de l’année scolaire, des petites phrases adroitement et largement diffusées aux élèves dans leur grande majorité, les dévalorisant dans leur personne et bien sur dans leur travail.
PUIS viennent les insultes à peines voilées à l’intention de la majorité de la classe puis énoncées individuellement à chaque cours
Certains se rebellent verbalement mais pas par insultes, essaient d’ouvrir un dialogue avec la prof etc. ., mais rien n’y fait, elle refuse de les considérer comme des personnes.
À ce moment, elle entreprend une vendetta contre ces élèves qui se sont mis en avant pour défendre les autres.
Mais elle n’oublie pas de continuer son petit jeu pervers et manipulateur s’apparentant d’après la plupart des élèves à des violences psychologiques.
Lors d’un cours exaspérés par les paroles blessantes de cette prof, tous les élèves de la classe se lèvent sauf un, et sortent, lui annonçant qu’ils se rendent tous chez la cpe .
La cpe dans son bureau les écoute, les assure de son soutien et leur demande de rejoindre leur cours
de retour dans la classe, à leur grand étonnement, la cpe change totalement de discours et soutient à fond la prof de français en menaçant les élèves de sanction si ils se plaignaient encore et leur interdit de parler de cela au conseil de classe
Elle va jusqu’à prendre à part dans le couloir quelques élèves individuellement et les menacent de représailles via l’appréciation au bac de français si ils parlent de ce qui s’est passé
Des parents se réunissent spontanément avec le prof principal pour en parler, les exemples de remarques blessantes et abaissantes aux élèves fusent de toutes part, on envisage de faire part à l’inspection académique de ces faits, de faire une grève, etc...Mais le prof principal, bienveillant, acceptant d’intervenir auprès de sa collègue, avoue qu’il ne pourra pas contrôler ce qui sera mis par elle dans les appréciations sur le français au bac pour chacun des lycéens.
A ce moment, l’année scolaire étant déjà bien entamée, rien ne sera fait dans l’intérêt des élèves.
QUESTION : combien de ces profs qui prennent les élèves pour des débiles, des délinquants, des animaux, des troupeaux, des ignares, et refusent de s’adresser à eux comme à des personnes pensantes , combien de ces profs se cachent dans l’enseignement ?
Combien d’entre eux brisent les vies, les études, les carrières de nos jeunes ?
Combien d’entre eux ont rendu sauvages certains de ces élèves aujourd’hui dénigrés par eux, accusés de rébellion, d’insultes envers les profs ?
N’est-ce pas à l’adulte à gérer ses propres peurs, et à doser ses attitudes, d’autant plus si son titre de professeur le met en position de puissance naturellement
Son public a changé, ses élèves sont différents de ceux d’il y a 45 ans, peu importe à qui la faute, le prof doit s’adapter à cette nouvelle population d’élève, dont le livre n’est plus la seule source d’information
Les jeunes sont beaucoup plus curieux, actifs, précoces dans certains domaines intellectuels même s’ils font des fautes d’orthographes, ils sont capables de communiquer, à nous adultes à essayer de pratiquer leur langage pour leur transmettre le savoir, car ils sont notre avenir.
UNE REPONSE POSSIBLE :
Que dire à l’inverse de cette histoire sur une prof de français alliée à une cpe qui met en échec toute une classe sauf un élève qui lui sert de délateur aux dépens de ses camarades :
Début de l’année scolaire, des petites phrases adroitement et largement diffusées aux élèves dans leur grande majorité, les dévalorisant dans leur personne et bien sur dans leur travail.
PUIS viennent les insultes à peines voilées à l’intention de la majorité de la classe puis énoncées individuellement à chaque cours
Certains se rebellent verbalement mais pas par insultes, essaient d’ouvrir un dialogue avec la prof etc. ., mais rien n’y fait, elle refuse de les considérer comme des personnes.
À ce moment, elle entreprend une vendetta contre ces élèves qui se sont mis en avant pour défendre les autres.
Mais elle n’oublie pas de continuer son petit jeu pervers et manipulateur s’apparentant d’après la plupart des élèves à des violences psychologiques.
Lors d’un cours exaspérés par les paroles blessantes de cette prof, tous les élèves de la classe se lèvent sauf un, et sortent, lui annonçant qu’ils se rendent tous chez la cpe .
La cpe dans son bureau les écoute, les assure de son soutien et leur demande de rejoindre leur cours
de retour dans la classe, à leur grand étonnement, la cpe change totalement de discours et soutient à fond la prof de français en menaçant les élèves de sanction si ils se plaignaient encore et leur interdit de parler de cela au conseil de classe
Elle va jusqu’à prendre à part dans le couloir quelques élèves individuellement et les menacent de représailles via l’appréciation au bac de français si ils parlent de ce qui s’est passé
Des parents se réunissent spontanément avec le prof principal pour en parler, les exemples de remarques blessantes et abaissantes aux élèves fusent de toutes part, on envisage de faire part à l’inspection académique de ces faits, de faire une grève, etc...Mais le prof principal, bienveillant, acceptant d’intervenir auprès de sa collègue, avoue qu’il ne pourra pas contrôler ce qui sera mis par elle dans les appréciations sur le français au bac pour chacun des lycéens.
A ce moment, l’année scolaire étant déjà bien entamée, rien ne sera fait dans l’intérêt des élèves.
QUESTION : combien de ces profs qui prennent les élèves pour des débiles, des délinquants, des animaux, des troupeaux, des ignares, et refusent de s’adresser à eux comme à des personnes pensantes , combien de ces profs se cachent dans l’enseignement ?
Combien d’entre eux brisent les vies, les études, les carrières de nos jeunes ?
Combien d’entre eux ont rendu sauvages certains de ces élèves aujourd’hui dénigrés par eux, accusés de rébellion, d’insultes envers les profs ?
N’est-ce pas à l’adulte à gérer ses propres peurs, et à doser ses attitudes, d’autant plus si son titre de professeur le met en position de puissance naturellement
Son public a changé, ses élèves sont différents de ceux d’il y a 45 ans, peu importe à qui la faute, le prof doit s’adapter à cette nouvelle population d’élève, dont le livre n’est plus la seule source d’information
Les jeunes sont beaucoup plus curieux, actifs, précoces dans certains domaines intellectuels même s’ils font des fautes d’orthographes, ils sont capables de communiquer, à nous adultes à essayer de pratiquer leur langage pour leur transmettre le savoir, car ils sont notre avenir.
UNE REPONSE POSSIBLE :
Que dire à l’inverse de cette histoire sur une prof de français alliée à une cpe qui met en échec toute une classe sauf un élève qui lui sert de délateur aux dépens de ses camarades :
Début de l’année scolaire, des petites phrases adroitement et largement diffusées aux élèves dans leur grande majorité, les dévalorisant dans leur personne et bien sur dans leur travail.
PUIS viennent les insultes à peines voilées à l’intention de la majorité de la classe puis énoncées individuellement à chaque cours
Certains se rebellent verbalement mais pas par insultes, essaient d’ouvrir un dialogue avec la prof etc. ., mais rien n’y fait, elle refuse de les considérer comme des personnes.
À ce moment, elle entreprend une vendetta contre ces élèves qui se sont mis en avant pour défendre les autres.
Mais elle n’oublie pas de continuer son petit jeu pervers et manipulateur s’apparentant d’après la plupart des élèves à des violences psychologiques.
Lors d’un cours exaspérés par les paroles blessantes de cette prof, tous les élèves de la classe se lèvent sauf un, et sortent, lui annonçant qu’ils se rendent tous chez la cpe .
La cpe dans son bureau les écoute, les assure de son soutien et leur demande de rejoindre leur cours
de retour dans la classe, à leur grand étonnement, la cpe change totalement de discours et soutient à fond la prof de français en menaçant les élèves de sanction si ils se plaignaient encore et leur interdit de parler de cela au conseil de classe
Elle va jusqu’à prendre à part dans le couloir quelques élèves individuellement et les menacent de représailles via l’appréciation au bac de français si ils parlent de ce qui s’est passé
Des parents se réunissent spontanément avec le prof principal pour en parler, les exemples de remarques blessantes et abaissantes aux élèves fusent de toutes part, on envisage de faire part à l’inspection académique de ces faits, de faire une grève, etc...Mais le prof principal, bienveillant, acceptant d’intervenir auprès de sa collègue, avoue qu’il ne pourra pas contrôler ce qui sera mis par elle dans les appréciations sur le français au bac pour chacun des lycéens.
A ce moment, l’année scolaire étant déjà bien entamée, rien ne sera fait dans l’intérêt des élèves.
QUESTION : combien de ces profs qui prennent les élèves pour des débiles, des délinquants, des animaux, des troupeaux, des ignares, et refusent de s’adresser à eux comme à des personnes pensantes , combien de ces profs se cachent dans l’enseignement ?
Combien d’entre eux brisent les vies, les études, les carrières de nos jeunes ?
Combien d’entre eux ont rendu sauvages certains de ces élèves aujourd’hui dénigrés par eux, accusés de rébellion, d’insultes envers les profs ?
N’est-ce pas à l’adulte à gérer ses propres peurs, et à doser ses attitudes, d’autant plus si son titre de professeur le met en position de puissance naturellement
Son public a changé, ses élèves sont différents de ceux d’il y a 45 ans, peu importe à qui la faute, le prof doit s’adapter à cette nouvelle population d’élève, dont le livre n’est plus la seule source d’information
Les jeunes sont beaucoup plus curieux, actifs, précoces dans certains domaines intellectuels même s’ils font des fautes d’orthographes, ils sont capables de communiquer, à nous adultes à essayer de pratiquer leur langage pour leur transmettre le savoir, car ils sont notre avenir.
UNE REPONSE POSSIBLE : Que dire à l’inverse de cette histoire sur une prof de français alliée à une cpe qui met en échec toute une classe sauf un élève qui lui sert de délateur aux dépens de ses camarades :
Début de l’année scolaire, des petites phrases adroitement et largement diffusées aux élèves dans leur grande majorité, les dévalorisant dans leur personne et bien sur dans leur travail.
PUIS viennent les insultes à peines voilées à l’intention de la majorité de la classe puis énoncées individuellement à chaque cours
Certains se rebellent verbalement mais pas par insultes, essaient d’ouvrir un dialogue avec la prof etc. ., mais rien n’y fait, elle refuse de les considérer comme des personnes.
À ce moment, elle entreprend une vendetta contre ces élèves qui se sont mis en avant pour défendre les autres.
Mais elle n’oublie pas de continuer son petit jeu pervers et manipulateur s’apparentant d’après la plupart des élèves à des violences psychologiques.
Lors d’un cours exaspérés par les paroles blessantes de cette prof, tous les élèves de la classe se lèvent sauf un, et sortent, lui annonçant qu’ils se rendent tous chez la cpe .
La cpe dans son bureau les écoute, les assure de son soutien et leur demande de rejoindre leur cours de retour dans la classe, à leur grand étonnement, la cpe change totalement de discours et soutient à fond la prof de français en menaçant les élèves de sanction si ils se plaignaient encore et leur interdit de parler de cela au conseil de classe
Elle va jusqu’à prendre à part dans le couloir quelques élèves individuellement et les menacent de représailles via l’appréciation au bac de français si ils parlent de ce qui s’est passé
Des parents se réunissent spontanément avec le prof principal pour en parler, les exemples de remarques blessantes et abaissantes aux élèves fusent de toutes part, on envisage de faire part à l’inspection académique de ces faits, de faire une grève, etc...Mais le prof principal, bienveillant, acceptant d’intervenir auprès de sa collègue, avoue qu’il ne pourra pas contrôler ce qui sera mis par elle dans les appréciations sur le français au bac pour chacun des lycéens.
A ce moment, l’année scolaire étant déjà bien entamée, rien ne sera fait dans l’intérêt des élèves.
QUESTION : combien de ces profs qui prennent les élèves pour des débiles, des délinquants, des animaux, des troupeaux, des ignares, et refusent de s’adresser à eux comme à des personnes pensantes , combien de ces profs se cachent dans l’enseignement ? Combien d’entre eux brisent les vies, les études, les carrières de nos jeunes ?
Combien d’entre eux ont rendu sauvages certains de ces élèves aujourd’hui dénigrés par eux, accusés de rébellion, d’insultes envers les profs ?
N’est-ce pas à l’adulte à gérer ses propres peurs, et à doser ses attitudes, d’autant plus si son titre de professeur le met en position de puissance naturellement Son public a changé, ses élèves sont différents de ceux d’il y a 45 ans, peu importe à qui la faute, le prof doit s’adapter à cette nouvelle population d’élève, dont le livre n’est plus la seule source d’information Les jeunes sont beaucoup plus curieux, actifs, précoces dans certains domaines intellectuels même s’ils font des fautes d’orthographes, ils sont capables de communiquer, à nous adultes à essayer de pratiquer leur langage pour leur transmettre le savoir, car ils sont notre avenir.
17/03 15:56 - ISABELLE PASCAL
UNE REPONSE POSSIBLE : Que dire à l’inverse de cette histoire sur une prof de français (...)
17/03 15:54 - ISABELLE PASCAL
UNE REPONSE POSSIBLE : Que dire à l’inverse de cette histoire sur une prof de français (...)
22/02 15:35 - paul villach
Mais, chère lectrice ou cher lecteur, il ne tient qu’à vous de présenter le dossier sur (...)
22/02 12:51 - go
pourquoi ne pas examiner le cas des profs qui abusent de leur position dominante pour détruire (...)
06/02 09:47 - Paul Villach
05/02 17:43 - Stéphanie
Merci beaucoup pour cet article qui illustre parfaitement l’une des dérives à mon sens (...)
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