Bon les paroles, des uns des autres.....
L’immédiat est plus facile à déchiffrer au regard du passé !
Il y a encore très peu de temps, les services d’urgences ont connu de couacs à répétition, et les grands « managers » de ces services, sont tous montés au créneau pour dénoncer avec force, l’insuffisance des moyens mis à leur disposition.
Actuellement, des « autorisés à dire » nous annoncent, à coup de porte voix médiatique, que tout est prêt pour faire face à une demande importante.
Alors dites....entre ce passé brouillon, pas si lointain....et « le plan de bataille » actuel...quels ont été les ajustements ?
Car, les besoins en bobologie ou autres accidents de la vie courante seront toujours d’actualité, à y rajouter cette pathologie qui nécessite l’intervention justifiée ou pas des moyens de prise en charge ( le patient potentiel est t-il en mesure d’évaluer sa dangerosité ou pas, au risque de multiplier le facteur de déplacement).
La peur, ce n’est pas la peur uniquement liée à la contamination elle même.
La peur, la vraie (en attendant) est cette cacophonie qui se propage plus vite que le virus, et dont notre société actuelle à mis en oeuvre, bien avant, tous les outils, à grande efficacité, pour cette pré-réussite.