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Commentaire de Désintox

sur La thèse des deux types de contamination : l'épidémie semble sous contrôle et il faut revoir la question des masques


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Désintox Désintox 20 août 2020 14:46

En mars, il n’y avait pas de masque. Il était impossible de se protéger. Les rares tests disponibles étaient réservés aux malades hospitalisés.

Quand on était malade à domicile, on ne savait pas ce qu’on avait.

J’ai été malade 3 semaines pendant le confinement, mais il m’a fallu attendre le mois de mai pour avoir la confirmation que c’était bien le COVID.

En mars avril, on ne risquait donc pas d’évaluer le nombre de gens contaminés. De nombreux malades sont sans doute passés sous les écrans radar. Etant confinés, ils n’avaient pas besoin d’arrêt maladie et se sont contentés de prendre du paracétamol et d’attendre que ça passe, puis ne se sont jamais fait tester. De toutes façons, la médecine ne proposait rien de mieux...

Il y avait beaucoup de malades, j’en ai vu beaucoup autour de moi, et aussi, sans doute, beaucoup de porteurs asymptomatiques, qui n’en ont jamais rien su.

Il n’est pas certain que le taux de mortalité ait été plus élevé en mars-avril qu’aujourd’hui. Pour calculer un taux de mortalité, il faut avoir le numérateur et le dénominateur, mais on n’avait que le premier.

Ce qui me semble vraisemblable, c’est que le confinement a fait baisser énormément le nombre de porteurs du virus et que depuis le déconfinement, il progresse beaucoup moins vite, grâce à la généralisation des masques.

Si on arrêtait de prendre des précautions, l’épidémie repartirait peut-être comme en mars, ou peut-être pas.

Qui a vraiment envie de vérifier ?

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