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Commentaire de Mélusine ou la Robe de Saphir.

sur Sidéral


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Mélusine ou la Robe de Saphir. Mélusine ou la Robe de Saphir. 29 mars 2021 10:27

Sidéré, sidéral ou Tropical....David contre le Goliath de la finance...Les NEPHILIM d’aujourd’hui sont des pervers-narcissique. La nature : ils détestent....Cela leur rappelle trop leur origine et leur mère. « La seule façon de contrer un pervers narcissique est de noter systématiquement tout ce qui a été promis ou dit », recommande Christel Petitcollin. Non seulement cela permet de garder des traces et de se couvrir, mais aussi de se rassurer quant à sa possible paranoïa. Bon courage. Nazisme et saturniens : 

Maltraitant, parent saturnien, perversion, dépersonnalisation, abus de pouvoir, imposition de désir, pervers narcissique

Dans les rêves, les nazis – comme leurs modèles réels – symbolisent des personnes ayant perdu leur humanité, qui ont pu torturer leurs semblables ou chercher à les détruire. Ce sont souvent les parents monstrueux qui sont dépeints ainsi dans les rêves, ceux qui ont maltraité physiquement ou psychiquement leurs enfants. Ils ont profité de leur position de force pour entrer dans la toute-puissance destructive. C’est une tyrannie ou dictature terrorisante qui est encore ressentie par le rêveur, un enfermement mortifère qui continue de polluer son âme.

Le parent maltraitant est une personnalité vampirique ; plus il mal mène et montre de la cruauté envers son enfant, plus il aliène celui-ci. L’enfant va développer un attachement à son parent fondé sur l’attente de l’amour naturel que celui-ci devrait lui donner. L’attention ainsi générée provoque des fuites d’énergie vers le maltraitant, une attention qui va se confondre avec le véritable lien. Le processus de maltraitance et de liaison erronée va perdurer ensuite, induisant une construction psychique ambiguë ; l’enfant devenu adulte aura une inclination pour les personnes qui lui portent une attention maltraitante (rejet, ignorance, dénigrement, propos désagréables, harcèlement, sadisme), mais capables de produire des affects contraires. Ils peuvent être confondus alors avec de l’intérêt et entrer en résonance avec les affects familiaux anciens. Le chaud-froid ainsi ressenti touche les zones de dépendance affective et polarise la pensée de la victime vers son bourreau. Il devient un pourvoyeur d’énergie vers l’individu psychophage, le nazi, personnalité de type pervers narcissique.

Ce schéma est réversible et la victime peut devenir persécuteur. L’alternance des deux rôles est possible ; c’est une sorte de libre arbitre, pourtant celui-ci impliquerait plutôt un détachement, un éloignement de ces profils affectifs pervers.

Les nazis ou la Gestapo peuvent être aussi des représentations internes personnelles, des émanations de l’instance du Surmoi, un département de l’ordre qui est devenu dictatorial et pervers, maintenant le moi dans une répression et une contrition très fortes, le faisant s’effondrer sur lui même. Or, il peut aussi laisser le Ça déborder cherchant des satisfactions dans la violence et la cruauté, toujours à des fins de captation d’attention et d’énergie.

Le nazi est celui qui a abusé de son pouvoir sur le faible pour assouvir ses besoins pervers par la torture morale ou physique, créant ainsi une dépendance chez sa victime. Les engrammes de violence chez l’enfant l’empêchent d’être ce qu’il est et de vivre son désir. D’une façon générale, ce climat symbolique suppose la négation absolue de l’autre (le rêveur).

Le nazi est donc souvent la représentation du pervers narcissique et peut correspondre à une personne avec laquelle nous avons des liens de proximité, au travail ou d’ordre sentimental. Comme le dit bien son nom, le nazi, c’est un gros naze. Bon courage.....


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