La question a poser est bien celle là :
Combien de « personnes » non algérienne ou non bi-nationale algérienne veulent venir en Algérie ?
Vous savez, les gouvernants de tous les pays raisonnent avec une gestion des flux utiles. Hormis les ressortissants algeriens, qui utiliseront les services de Western Union pour les euros des vacances, il y aurait-il d’autres voyageurs prets a venir ?
Si vous savez répondre à cette question, votre analyse sera différente. Notez également que les personnages influents continuent à voyager... eux, ils ne sont pas bloqués a Roissy dans un obscur couloir du sous-sol.
Dommage pour l’Algérie...