Passifs ? Collabos ? Tyrans ?..

Je revis les situations cauchemardesques qui nous ont été imposées. Aussi délirantes les unes que les autres. La population m’a bien plus indexée que la police dans la rue. Ce sont les directions, les collègues, les commerçants qui font appliquer la propagande ! Et ça personne ne les y obligent.

Qui nous demande encore de remonter le masque dans certains magasins ? Certains vendeurs et des vigiles alertés par ces mêmes vendeurs qui vous barrent physiquement le passage ou pire parce que vous refusez de monter votre masque « correctement sur le nez » vous agressent physiquement.

Qui nous demande de nous faire vacciner avec un « il faut se faire vacciner » ? Employeurs et collègues. Insultes, culpabilisation, etc.

La demande de coercition, d’ordre est malheureusement bien là pour que le gouvernement mette en place toutes ces mesures. Elle lui facilite du coup grandement la tâche.

Macron a compris ce qu’était son électorat. Pas difficile : la population est davantage composée de « Catherine Hill » au chef branlant que de jeunes. Elle a peur pour ses vieux os et trouve normal que les caissiers comme les soignants continuent eux de la servir ou de la soigner pendant la « pandémie », que les enfants se masquent. Tout comme, elle ne supporte plus d’être bousculée dans la rue ou d’entendre les bruits de la rue. Son rêve est désormais d’être dans un hôpital géant qui serait dans sa rue, dans ses commerces, partout où elle va. De trouver du gel et des masqués partout où elle se déplace. 

Une autre partie s’en fout, car ce ne serait que des « petite contraintes » à supporter au quotidien (masques, gels, assignations à résidence, pass sanitaire et maintenant la vaccination).

Si le SIDA apparaissait aujourd’hui, je n’ose imaginer ce qui se serait passé...La population aurait-elle demandé à l’armée de tirer sur les malades ?

Les manifestations continuent mais les participants sont moins nombreux. En juillet et en août, j’ai vraiment espéré.