@wagos
Pour le pétrole Hitler avait une solution de rechange qui a par ailleurs parfaitement fonctionné, faut dire que côté Moyen-Orient les possibilités de l’Allemagne étaient très restreintes, celui-ci étant en grande partie sous influence française et anglo-saxonne
Le complexe d’IG Farben à Auschwitz : l’essence de la guerre
Le
nom Auschwitz n’évoque ni l’essence synthétique ni le caoutchouc
synthétique, on ne dit jamais rien du rôle industriel d’Auschwitz ni de
l’intérêt stratégique que les Américains portaient à ce complexe après
Pearl Harbor.
Arthur Robert Butz est l’auteur de « La Mystification du XXe siècle », un pavé de six cents pages paru en 1976, voici quelques passages de ce qu’il indique sur le rôle industriel d’Auschwitz :
(...)
« Quand l’Allemagne annexa une grande partie de la Pologne, en 1939,
elle entra en possession des grands bassins houillers de la
Haute-Silésie. Il fut naturellement décidé de les exploiter et l’on
étudia les possibilités d’y installer une usine d’hydrogénation et de
fabrication du buna. L’on constata que la petite ville d’Oswiecim » (13
000 habitants) en allemand « Auschwitz, était située de manière idéale
car les trois rivières qui y confluaient pouvaient fournir l’énergie
nécessaire tandis qu’il existait également une quatrième rivière à
proximité pour l’évacuation des déchets. En outre, Auschwitz se trouvait
à la limite sud des bassins houillers de Silésie, la région minière de
Pologne autour de Kattowitz. Au début de 1941, la décision fut prise de
construire une usine d’hydrogénation et de fabrication de buna à
Auschwitz. » (...)
https://reseauinternational.net/le-complexe-dig-farben-a-auschwitz-lessence-de-la-guerre/
Ce qui explique en bonne partie la géolocalisation de ces camps qui n’a rien d’anodine...