@l’auteur Je crains que vous
raisonniez à l’envers
Ce n’est pas
l’éducation nationale qui est prise au piège de l’identité de
genre,
mais plutôt l’identité de genre qui piégée par la
prétendue éducation dite nationale.
D’où vous vient la
saine mais fausse certitude a priori que l’école républicaine
serait une « bonne mère bienveillante éducatrice »
furtivement trompée, abusée par des méchants lobbies LGBTistes
genristes ?
L’EN, c’est plutôt
dès l’origine une mère maquerelle raie-publicaine qui formate ses
« ressources humaines » maléables infantiles aux normes
du marché et des anticipations du capital à une époque donnée.
Or
aujourd’hui la désarticulation précoce sexe-genre est l’ouverture
béante à des marchés infinis lucratifs et captifs de l’humain
artificiel, dont Blanquer est l’employé marketeur, le chargé
d’affaire d’une équipe de vente et de psycho-bio-ingénierie. Il
s’agit de fabriquer des êtres débiles et stériles et de les
pourvoir de services et de prothèses bio-psychiques marchandes, sous
prétexte médico-social, prétexte pour détourner l’argent cotisé
mutualisé pour la santé des travailleurs.
C’est d’abord un
hold up financier !
LGTBQ+ n’est que le catalogue des
produits & options psycho-marketing encore rudimentaire,
cycliquement réactualisé par les prescripteurs transnationaux du capital (ONU,
OMS, Agences européennes, etc...) des normes de « santé
publiques », comprendre normes de « maladies rentables ».
Comme
l’ingénierie sociale du COVID...
Le piège c’est de
lire le réel à l’envers, de dire, comme l’ami @Jean de Beauce, que
les profs ont d’autres priorités éducatives... oui, dans leurs
(nos) rêves idéalistes d’une école idéale en ruines qui n’existe
pas.