Les « scientifiques du GIEC »

Il fut une époque pou on appelait « science » ce qui se confirmait par la preuve.

De nos jours, la science est dévoyée. On appelle science les recherches d’hypothèses. Les modélistes. 

On a changé le langage et le mot science est dévoyé. Il est devenu une arme de manipulation massive.

Le GIEC est un organisme « politique ». 

Un organisme financé pour prouver qu’il y a un réchauffement, n’est pas un organisme neutre.

On utilise plus les rapports en manipulation de langage et le « faire peur » que l’explication des données de bases.

Étant donné que le « changement climatique » ne semble pas assez dangereux, ils le renomment « dégradation du climat » ou « urgence climatique ». C’est l’assurance que ceux qui font les rapports vont être motivés a continuer à cracher de fric.

Les modélisateurs sont appelés « scientifiques », au lieu d’hypothétistes, le langage de la vérité fait tout de suite moins sérieux.

La qualité des donnée doivent être évaluées en fonction de la manière dont ces donnée sont produites et non de la satisfaction idéologique qu’elle procure.

Or c’est l’inverse, le moutonnisme a répéter en boucle ce que les médias ont copié-collé des communiqués de presse fait la une.

Mais quand quelqu’un commence a vérifier les données qui ont abouties aux résultats. Il est diabolisé.

Les graphiques au 10eme de degrés de 1960 affirmés comme des vérités, période des thermomètres à mercure ne pose pas de contradiction.

Les pays qui s’adaptent aux chaleurs élevées comme Israël ne sont pas mentionnés et il n’y a que propagande de pays désertiques auquel nous ne ressemblons pas.

Les pays qui s’adaptent aux montées des eaux comme la Hollande et ses polders, on n’en parle pas.

Les livres de ceux de shellenberger et autres qui expliquent que c’est surjoué et ne font pas la une de la presse.

Le CO2 serait le méchant. On a réussit a faire croire a des populations distantes de ces élucubrations que c’était un polluant. C’est affligeant.