Heureusement, les médicastres étaient préparés depuis octobre 2017 à contrer les objections de la populace au vaccin tueur, appelé alors « Corovax ».

Cet incroyable mémo (en anglais) publié par John Hopkins, et qui prévoyait un scénario de pandémie mondiale due à un coronavirus, prévue à l’époque pour 2025,

incitait déjà les membres du bu$ine$$ médical à réfléchir à la meilleure façon de déminer le terrain de la communication en cas de « pandémie SPARS ».

Morceaux choisis :

p. 10 : « Quels sont les risques encourus par les agences de santé si le public, les médias, et/ou le personnel politique estiment que des informations sur des traitements potentiels sont maintenues secrètes ? »

« Comment les agences de santé devraient-elles communiquer en amont pour atténuer tout forme de sentiment de manque de transparence ? Si ce type de perception apparait durant la crise, comment pourrait-elle être désamorcée ? »

p. 13 : « Comment les autorités fédérales pourraient-elles éviter qu’une procédure accélérée de validation d’un vaccin soit perçue comme étant précipitée et fondamentalement viciée, même si ce processus suit les mêmes standards de sécurité et d’efficacité que n’importe quel vaccin ? »

« Comment les autorités fédérales pourraient-elles répondre aux critiques qui mettent en avant que l’absence de responsabilité des fabricants de vaccin met en danger les libertés et la santé des individus ? »

p. 48 : « Quelles stratégies de communication pourraient être efficaces pour toucher des groupes isolés qui s’opposent aux traitements comme le Corovax et pourraient mettre les autres et eux-mêmes en danger ? »

« Quels types de partenariats et d’alliance noués antérieurement à la crise avec des groupes intermédiaires et/ou des leaders d’opinion auraient pu réduire l’impact et la probabilité d’un sentiment anti-Corovax chez des groupes minoritaires ? »

Etc., etc. Un document fascinant, qui amènera les plus complotistes d’entre vous à se poser quelques questions (forcément délirantes)...

On notera que les prophètes de John Hopkins évoquent un président US nommé J.B., qui ne se représente pas pour raisons de santé et est remplacé par son vice-président.