@Claude Courty
Oui, les hasards de l’existence ont donné conscience à l’être humain de sa propre nature et de ses insuffisances. Très juste.
Mais qu’est-ce le hasard et la conscience ? Si ce ne sont des notions abstraites, des notions que notre pensée nous fait découvrir et que l’on accepte sans même pouvoir en savoir plus sur leur sens.
Oui, c’est le hasard est le hasard, oui la conscience est la conscience. Comme vous dîtes, l’être humain l’accepte par fatalisme. Et qu’est-ce que le fatalisme dans son essence ? Que signifie fatalisme ? Un mur contre lequel bute la conscience ? Ou comme le fatalisme est décrit. "Une doctrine selon laquelle tous les événements sont fixés à
l’avance par le destin. ... attitude qui consiste à croire que tout est
décidé par le destin et qu’il est impossible de s’y opposer."
Et pourquoi Claude êtes vous vous ? Pourquoi vous vous définissez autre que celui, "cet être humain qui accepte son existence et ses aléas par fatalisme et
qu’il s’est inventé des Dieux auxquels il peut ainsi s’en remettre, plutôt
que de lutter contre ses peurs et son égoïsme."
Faîtes nous part de votre pensée qui vous intime de lutter contre ses peurs et son égoïsme. Le pourriez-vous ? Ou plutôt c’est vous qui luttez contre vos peurs et votre égoïsme ? Croyez-vous réellement que vous êtes dans le vrai ?
Tout être humain est créé faible ? Nous sommes nous par notre pensée. Point barre. Nous ne nous sachons pas. Voilà, Claude. Ne pensez-pas que vous êtes dans le vrai ? Et moi aussi. Pensons simplement et existons.
Merci pour votre contre-pensée.