@olivier cabanel
La machine judiciaire américaine ne ressemble vraiment pas à la notre, aux USA, si on a les moyens de se payer des avocats, on peut poursuivre en justice à peu près n’importe qui pour n’importe quoi, et cela peut aller assez vite. S’il y a des procès, cela peut au moins contraindre les défenseurs d’une vaccination expérimentale imposée à toute la population à révéler des informations (sur la qualité des expérimentations, les contrats, les liens entre la classe politique et les labos, le blocage des traitements curatifs...). Et il me semble qu’il y a une polarisation politique assez forte (contrairement à la France) sur le sujet, les opposants à Biden, surtout Républicains, ont les moyens de financer ces procès. Ce sont des USA que nous vient le pire (ce que l’on vit aujourd’hui), mais l’issue peut aussi arriver de chez eux : c’est dire à quel point nos politiciens européens et nationaux sont godillots. En France le système judicaire existe, mais il est incroyablement lent, il est donc débordé par la vitesse à laquelle se déroulent les événements actuels.
Un argument simple est qu’il y a eu administration d’une médication encore en phase de test au moyen d’une contrainte de fait (contrainte de fait car ceux qui ne l’acceptaient pas s’exposaient à un danger vital : perte de tout revenu, et impossibilité de voir leurs proches). L’administration par contrainte de fait peut aussi être condamnable même si la médication n’est plus en phase de test, et même s’il était prouvé (ce qui n’est pas le cas) qu’elle présentait un risque nul. On peut aussi observer que le rapport bénéfice/risque des plus jeunes n’a pas été réévalué au vu de l’évolution des connaissances : durée réduite de la protection effective et apparition des variants qui échappent aux vaccins.