La France, d’un point de vue général, n’est absolument pas raciste, elle tente simplement de protéger le peu qu’il lui reste de ce qui a fait sa grandeur dans le passé.
Depuis la deuxième moitié du XXème siècle, la France est en position de légitime défense face à une politique d’immigration inique organisée par les mondialistes, concrétisée, sur le plan national, par des marionnettes gouvernementales, et défendue, depuis lors, par les « professionnels de l’antiracisme »
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Exemple en France : devenu Président de la République en 1974, la France doit à Valery Giscard d’Estaing une réforme majeure dans le domaine de l’immigration : la mise en place du « regroupement familial ». La politique d’intégration des étrangers transformera à partir de là, le modèle d’assimilation culturelle et d’adoption totale de la culture française selon la République « Une et Indivisible », qui « assure l’égalité devant la loi de tous les citoyens sans distinction d’origine, de race ou de religion », par un multiculturalisme, libéral, forcé, diviseur et communautaire, selon le modèle anglo-saxon, et conduisant à toute une kyrielle de malheurs sociaux, culturels, économiques et politiques, individuels ou collectifs : entre autres, apparition et croissance, au sein d’un peuple, de tensions et de divisions ; perte de l’identité ; éradication brutale de la mémoire et de tous ses symboles ; déracinement et errance culturels ; perte des repères linguistiques que sont la grammaire et la syntaxe, donc de la capacité de bien structurer sa pensée si l’ethnie dominante est d’une autre langue ; réduction de la capacité à s’exprimer correctement pour être bien compris et participer pleinement à la vie collective ; ghettoïsation et paupérisation de pans entiers de la population les moins souples à s’adapter, etc.,
Rappelons à toutes fins utiles que l’action antiraciste est l’une des sphères d’action du mondialisme.
Notons au passage que, subtilement, pour accompagner cette « marche forcée » de l’immigration dans l’Europe tout entière, et en faciliter l’intrusion, la seconde moitié du XXème siècle allait voir la culture américaine, notamment musicale, envahir l’Europe et ouvrir la voie à une pénétration à grande échelle et à un remplacement progressif de la culture européenne par des traditions non européennes. Elle comprenait d’abord de puissants éléments afro-américains tels que le jazz, renforcés ensuite par les traditions afro-caribéennes comme le reggae puis, grâce à l’afflux de genres afro-américains apparentés, le rap, le hip-hop, etc., faisaient leur apparition. Notons également l’irruption, dans les années 70, du « raï », genre chanté algérien, mélange d’arabe, de rock et de blues. Est-il utile de rappeler que le rock a permis l’intrusion, dans notre monde, d’influences négatives, sinistres, liées au sexe, à la violence gratuite, à la drogue, aux pulsions les plus basses, et provoquant chez les êtres et par voie de conséquence dans nos sociétés, de graves effets pathologiques aux niveaux physiologique, psychologique et social.
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