"Il faudrait être bien sot pour ne pas croire à l’indépendance totale de la justice."

Il faudrait être extrêmement sot, ou alors un propagandiste bien balourd, pour affirmer une telle énormité !

En France notamment, et partout ailleurs, dans le monde occidental du moins, la justice est l’une des institutions les plus corrompues et les plus menottées qui soit. Du Tribunal de Commerce de province à la CPI en passant par la CJE ou la CEDH, mais aussi l’Ordre National des Huissiers et celui des Avocats, il n’y a pas une juridiction ni un corps de l’Etat qui ne soit profondément corrompu. On l’a d’ailleurs parfaitement vérifié ces derniers mois avec les milliers de plaintes auprès de la CPI pour crimes contre l’humanité, et en France auprès de la Haute contre l’Etat français, Macron, ses gouvernements, ses ministres, ses pseudos experts membres du pseudo conseil scientifique à propos du scandale du Rivotril, des vaccins et de la politique sanitaire en général, qui n’aient été déboutées sans même être examinées. Sans parler des plaintes pour les fraudes les plus massives de l’Histoire républicaine lors de la dernière mascarade électorale des présidentielles.

Dans le domaine commercial et depuis les accords de libre-échange signés en catimini, CETA, TAFTA et autres, les juridictions nationales sont menottées, en incapacité de faire leur travail, quand elles ont encore leur mot à dire.

Depuis l’état d’urgence permanent inscrit dans le droit commun par un vote inique arraché à un Parlement pris en otage, la France n’est plus ni une démocratie, ni un Etat de droit. Prétendre le contraire relève de la débilité profonde. Le principe de séparation des pouvoirs a volé en éclat. Et il n’y a plus un seul corps constitué qui ne dépende pas aujourd’hui de l’exécutif, c’est à dire en définitif de McKinsey, de BlackRock ou de la Banque Rothschild qui pilotent les grandes orientations stratégiques de la France.

Dans le domaine pénal, c’est exactement la même chose.

Quant au parallèle entre Sarkozy et Macron, il n’est pertinent que jusqu’à un certain point. Sarkozy est un ambitieux sans aucune conviction, qui se moque éperdument de la France et de la République, dont la politique se résume à la corruption et au népotisme. C’est le plus grand fossoyeur du gaullisme après Chirac. Mais c’est surtout un Américain. Dont le beau-père Franck Wisner Jr. est un des hauts dirigeants de la CIA (son père en ayant été l’un des fondateurs), dont le frère a dirigé comme CEO la firme pétrolière texane Carlyle Group des famille Bush et Ben Laden, principale bénéficiaire des guerres post 11 Septembre menés par les néocons au Moyen-Orient. Sarko est aussi un ami personnel de la famille Bush Jr. Toute sa politique comme Président s’est résumée à servir les intérêts américains, allant même jusqu’à mener des guerres insensées comme en Lybie, et réintégrer la France dans le commandement intégré de l’OTAN. Très fort pour un « gaulliste » !

Macron lui est une création intégrale des oligarques qui l’ont repéré tout jeune parmi des profils intéressants à suivre et biberonné, qui l’ont hissé à la Commission Attali, puis mis en couveuse 4 ans chez Rothschild, en enfin parachuté en 4 ans seulement au sommet de l’Etat grâce à une story, un profil, un personnage, un parti, un programme entièrement bidouillés par McKinsey. Ce n’est qu’une simple marionnette MK Ultra au service de ses mentors et mécènes, Klaus Schwab en tête.

Tous deux ont en commun de servir la stratégie de conquête absolue de tous les pouvoirs par la vieille oligarchie anglo-américaine, et d’instauration d’un Nouvel Ordre Mondial ploutocratique, ultra inégalitaire, totalitaire, technosécuritaire, transhumaniste et eugéniste, dont la genèse remonte au 18e siècle, et qui prend aujourd’hui forme grâce à l’instrumentalisation de chocs contrôlés et de crises fabriquées comme le Covid (selon le scénario du Great Reset).

Macron, comme Ursula van der Leyen, Merkel, Johnson, Trudeau, Arvern, Gebreyesus et beaucoup d’autres, sont les petits scouts zélés de cette secte mondialiste des Young Global Leaders qui œuvrent à découvert pour le compte de leurs mentors auxquels ils sont totalement soumis.