@Eric F

Le pouvoir, quel qu’il soit, n’écoute généralement que ce qu’il veut entendre. Pour le reste, il considère que le peuple ne comprends pas certaines choses, et qu’il lui faut donc ruser pour passer outre la vox populi.

Par exemple, la dévolution progressive de souveraineté à l’UE s’est faite souvent en catimini lors de conférences au sommet, et même lorsque l’avis populaire a été demandé, tout n’était pas mis sur la table (comme par exemple le ’’volet social’’ qui devait suivre Masstricht et n’a jamais vu le jour, ou les élargissements continuels ’’par devoir de solidarité’’, ou l’artifice suite au rejet du projet de constitution qui a consisté à retirer le terme ’’constitution’’ en reventilant le contenu dans un traité ratifié par les parlements).
Il en va de même pour l’immigration, présentée soit sous un jour humanitariste (droit d’asile à la pelle) soit comme nécessaire à l’économie (le motif prosaïque est de compenser l’érosion démographique naturelle, pour accroitre la production/consommation (PIB), comme l’a déclaré Attali (ref)).
Dans d’autres pays, c’est l’inverse mais pas mieux pour autant, la fibre nationale est flattée par des dirigeants qui accaparent dans la réalité une plus grande part encore de la richesse nationale que chez nous.

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Normalement en démocratie, les élus à quelque niveau que ce soit sont déléguer par le peuple pour exécuter sa volonté.

c’est la définition même de la démocratie non directe mais déléguée, représentative du peuple comme il se devrait.

La soumission à l’Europe est une position du pouvoir mondialiste qui agit en contradiction avec la volonté populaire.

La position sur l’immigration, idem, c’est une position mondialiste, qui est aussi en totale contradiction avec ce que le peuple veut.
on se refuse à lui donner la parole .
alors il va se passer ce qui s’est déjà passé dans le quinquennat précèdent , le peuple se fera entendre mais de façon plus vive dans la rue , puisqu’ailleurs c’est impossible.