À propos de la drogue, commençons par rappeler ceci :
La musique « Rock » a permis l’intrusion dans notre monde, par ailleurs dépourvu de toute contrepartie authentiquement spirituelle, d’influences négatives, sinistres, liées au sexe, à la violence gratuite, à la drogue, aux pulsions les plus basses, provoquant, chez les êtres et par voie de conséquence dans nos sociétés, de graves effets pathologiques aux niveaux physiologique, psychologique et social.
« A Woodstock (aout 1969), écrit le journaliste Donald Phau dans « The Satanic Roots of Rock », presque un demi-million de jeunes se réunirent pour qu’on les drogue et qu’on leur lave le cerveau dans une ferme. Les victimes étaient isolées, entourées d’immondices, bourrées de drogues psychédéliques, et on les maintint éveillées pendant trois jours, tout ceci avec la complicité totale du FBI et de hauts fonctionnaires du gouvernement. La sécurité du concert fut fournie par une communauté hippie (truffée d’agents spéciaux) entraînée à la distribution massive de LSD (souvent mélangé à du Coca-Cola). Ce furent de nouveau les réseaux du renseignement militaire britannique qui initièrent tout ».
Profitons-en pour rappeler que le LSD a été mis au point en 1943 par le chimiste Albert Hoffman qui travaillait alors pour la Société « Sandoz AG », maison pharmaceutique Suisse, propriété des banquiers Warburg de Londres (principaux financiers de la Révolution bolchévique, ainsi que l’un des huit principaux actionnaires de la Banque centrale américaine lors de sa création en 1913). La Société « Sandoz AG » a été absorbée en 1995 par la « Swiss Bank Corporation » ou « Société de banque suisse » (SBS) qui fusionnera à son tour avec l’« Union de Banques Suisses » en 1998 pour former l’un des premiers établissements financiers mondiaux : UBS.
Le financement original du festival de Woodstock fut opéré par l’héritier d’une grande société pharmaceutique de Pennsylvanie, John Roberts, et deux autres associés dont Joel Rosenmann. Quand il est question de drogue et d’expérimentation psychiatrique, le lobby pharmaceutique n’est jamais loin.
Ainsi, une fois « ramollis », les USA étaient mûrs pour l’introduction d’autres drogues tels que la cocaïne, le crack et l’héroïne. Ce fut aussi le début d’une époque qui allait rivaliser avec la « Prohibition » et avec les énormes sommes d’argent qui commenceraient à s’amasser.
Cela doit sérieusement nous interroger sur la volonté et l’insistance qu’émettent certaines élites ces derniers temps, au sujet de la dépénalisation de l’usage personnel des stupéfiants, sous prétexte, entre autres, de combattre la toxicomanie. En effet, derrière ces immenses tragédies se profile un lobby qui semble disposer de moyens colossaux, qui est présent dans tous les pays et qui vise, à travers l’activisme de ses médias complices, ainsi que de ses « experts » et autres marionnettes politiciennes, à modifier la législation en obtenant la dépénalisation des drogues dites « légères », les substances dérivées du cannabis comme la marijuana et le haschisch, et en en minimisant les effets, passage indispensable à créer les futurs consommateurs de drogues « lourdes ». On répand ainsi la conviction qu’une loi doive et puisse seulement réglementer le « droit » des personnes, en particulier des jeunes, à essayer la « légère » ivresse narcotique de ces substances, bien différente, on tend à le souligner, par une fausse symétrie, de celle des drogues « lourdes », qui engendrent des altérations dramatiques du comportement, accompagnées de graves violations de l’ordre public. Une approche réellement scientifique démontre au contraire que le jeune qui s’approche occasionnellement des drogues même « légères » est exposé à devenir très vite consommateur habituel de drogues aussi bien lourdes que légères, entraînant des malaises très graves et progressifs, tels que par exemple la réactivation d’états latents de schizophrénie ou des atteintes plus ou moins étendues aux facultés cérébrales.
Dans un discours prononcé en 1961 lors d’une conférence à la California Medical School de San Francisco, Aldous Huxley disait : « Il y aura dès la prochaine génération une méthode pharmaceutique pour faire aimer aux gens leur propre servitude, et créer une dictature sans larmes, pour ainsi dire, en réalisant des camps de concentration sans douleur pour des sociétés entières, de sorte que les gens se verront privés de leurs libertés, mais en ressentiront plutôt du plaisir. ».
NB : Une société harmonieuse doit être dominée par des êtres de spiritualité. Ceux-ci constituent la seule véritable élite car une société « normale », traditionnelle, doit se fonder sur le spirituel, comme c’était le cas, par exemple, dans beaucoup de villages afghans avant l’invasion soviétique. Aussi, selon des spécialistes de la lutte anti-drogue, cette dernière est passée, en Afghanistan, de 200 tonnes avant la guerre, à 500 tonnes en 1985 et à 800 tonnes en 1988. Notons que l’Afghanistan, « malgré » la présence de l’ONU (ou « à cause », cela dépend du point de vue), a réalisé un tour de force en 2017, en multipliant encore par deux sa production de pavot : de 4800 tonnes en 2016 à 9000 tonnes l’année suivante (même les zones qui jusque-là étaient épargnées ont vu fleurir cette plante). Notons que dans ce « domaine » un « placement » de 1200 € génère 200 000 € de bénéfices (d’après la commission anti-mafia 2006-2008). Les liens intimes qui unissent le trafic de drogue et celui des armes peut donner une idée du « pourquoi » et du « comment » les clans mondialistes (autrement dit « Mafieux ») colonisent et tentent de s’approprier le monde.
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