Merci à l’auteur d’aborder un sujet de société aussi complexe qu’il est conditionnel.
La violence des lois anti-sociales décrétées sous les auspices d’organisations occidentales supranationales, dont la DADVSI fait partie, n’a d’équivalent que la violence des mouvements sociaux nationaux et internationaux que l’on constate dans le monde d’aujourd’hui.
On assiste à une dilution des anciens conflits de générations dans un conflit étendu contre toute autorité supranationale, forcément dictée par l’intérêt des seigneurs (saigneurs). L’autorité du père ou de la mère, est incarnée par le tout-puissant et divin dirigisme anglo-saxon.
La diminution des libertés individuelles va de pair avec la démocratisation de la pensée communautaire.
Un bien au service de tous n’est plus envisageable dans notre société de consommation, où la culture se consomme en droit général et non en développement personnel.