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Accueil du site > Culture & Loisirs > Culture > D’une fistule anale au God Save The King

D’une fistule anale au God Save The King

« Oh my God ! What an horrific revelation ! », ne manquent pas de s’exclamer les Britanniques lorsqu’on les informe sur l’origine de leur National anthem dont ils sont si fiers. De là à traiter de « bloody liars », voire de « fucking bastards », les Français qui osent propager ce qu’ils pensent être un méprisable « bullshit », il n’y a qu’un pas. Mais de quoi parle-t-on ? « What’s the matter ? »

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Extrait du tome 1 de la BD « Le royal fondement » de Philippe Charlot et Eric Hügsch

« Que l’hymne des Anglais naquît d’un anus, voilà qui ne cesse de me faire rire sans toutefois un instant de me surprendre. » Marquise de Créquy

C’est – inutile de se voiler la fesse – en effet du royal appareil de défécation de Louis XIV qu’il est question. En 1686, la gloire de celui qui, en toute modestie, aime à être nommé Roi-Soleil est au zénith. L’année précédente, au grand dam des huguenots, il a révoqué l’Édit de Nantes et, de ce fait, reconquis dans une population très majoritairement catholique un prestige mis à mal par sa gouvernance va-t-en-guerre et l’évident mépris dont il fait preuve à l’endroit du Tiers-État. Or, voilà qu’une fistule très mal placée vient inopportunément ternir sa royale félicité en lui agaçant le fondement de manière très déplaisante.

Louis XIV s’en trouve d’autant plus meurtri que, le temps passant, il ressent des douleurs de plus en plus vives en posant son royal arrière-train sur un siège. Quant à monter à cheval pour parader en majesté dans le parc du château de Versailles ou se montrer lors des chasses, il ne faut plus y compter : monter en selle est devenu presqu’aussi pénible qu’aller à la selle. À cet égard, l’on imagine sans difficulté les souffrances que ressent le monarque lorsqu’il est contraint d’asseoir son royal séant sur la chaise percée pour expulser ce qu’il ne peut – sauf à risquer une royale mais périlleuse occlusion –, garder in petto corporis.

Malheureusement pour Louis XIV, ses médecins – parmi lesquels officie celui qui deviendra le premier d’entre eux, Guy-Crescent Fagon – se révèlent impuissants à soigner ce mal engendré par ce qu’ils définissent ainsi : « une petite tumeur devers le périnée, à côté du raphé, à deux travers de doigt de l’anus ». Malgré de savantes palpations et de doctes réflexions, rien n’y fait : ni l’administration de moults clystères, ni l’application d’autant de cataplasmes concoctés par les meilleurs herboristes du royaume. Le royal postérieur, décidément affecté d’« une méchante disposition du dedans », est rétif à la guérison ! 

Le Roi Soleil, dont les rayons persistent à darder d’intenses douleurs dans le royal rectum, connait certes des moments de répit, mais de courte durée et toujours suivis de rechutes caractérisées par le retour de douloureux abcès. C’est alors que le chirurgien du roi, Charles-François Félix, propose au monarque de pratiquer une intervention chirurgicale afin de mettre un terme aux désagréments que lui cause son royal fondement. Le roi accepte, à condition – on n’est jamais trop prudent – que le chirurgien exerce au préalable son art, sans limitation de nombre, sur le postérieur des fistuleux internés dans les hospices et les prisons.

Le plagiat de Haendel

18 novembre 1686 au matin. Dûment entraîné sur 75 cobayes dont nul ne sait ce qu’il est advenu d’eux, et muni d’un écarteur anal et d’un « bistouri à la royale » qu’il a spécialement mis au point, le chirurgien opère – à vif, l’anesthésie n’a pas encore été inventée – le royal arrière-train. Avec succès : le soir même, Louis XIV préside son Conseil d’un derrière guilleret. Exeunt la fistule et les rumeurs de santé subclaquante qui commençaient à courir en Europe. Charles-François Félix en tirera un grand profit pour lui-même*, de même que pour la corporation des chirurgiens de la Confrérie de Saint-Côme relativement à celle des médecins de la Faculté.

Ravie de cette guérison, Madame de Maintenon, surmontant sa répugnance pour le vice italien dont se rend coupable Jean-Baptiste Lully, demande au Florentin de composer une ode afin de louer le Seigneur d’avoir libéré le royal cul de son époux des douleurs qui l’accablaient. Ainsi naît Grand Dieu sauve le Roi (lien musical) dont les paroles sont écrites par Marie de Brinon, la supérieure du tout nouveau pensionnat de la Maison royale de Saint-Louis destiné à l’éducation des filles de la noblesse pauvre. Du côté de Louis XIV, tout va bien : remis de ses souffrances, il supervise avec un intérêt sadique la recrudescence des dragonnades

Or, voilà qu’en 1714 l’Allemand Georg Friedrich Haendel, compositeur officiel à la cour du roi d’Angleterre George 1er, est de passage à Versailles. Il y entend l’ode de Lully et s’empresse d’en noter la musique et les paroles. De retour à Londres, il en soumet sans vergogne un plagiat pur et simple au monarque, lequel s’enthousiasme pour la majestueuse solennité de ce God Save The King. Désormais joué lors de toutes les cérémonies royales, ce chant devient progressivement l’hymne qui manquait à la Couronne britannique et qui s’imposera par la suite dans toutes les possessions coloniales puis dans les nations du Commonwealth.

En résumé, voilà un hymne qui a été composé pour un roi français par un musicien italien puis plagié par un compositeur allemand pour honorer un roi anglais. Ce constat fait, le mot de la fin, aussi trivial puisse-t-il paraître, revient au Professeur Jean-Noël Fabiani : « Les Anglais ont, aujourd’hui, sans le savoir, comme hymne national un air qui a été composé pour le cul du roi Louis XIV » ! Une chose est certaine : ce bref opus a bien été composé par Lully, et les paroles écrites par Marie de Brinon. Le rapport avec la royale fistule est-il pleinement avéré ? Pas sûr. Mais le fait est que, véridique ou pas, cette parenté est restée dans les annales.

Le chirurgien recevra 150 000 livres et sera anobli 4 ans plus tard.

Co-auteur avec Jean-Noël Fabiani-Salmon et Philippe Bercovici de L’incroyable histoire de la médecine (Éditions Les Arènes, 2018).

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38 réactions à cet article    


  • Jason Jason 23 janvier 10:04

    On pouvait entendre ; « les Français parlent aux Français » et maintenant « Le sphincter parle aux anglais ».


    Jolie histoire


    • Fergus Fergus 23 janvier 11:27

      Bonjour, Jason

      En tout état de cause, on comprend que faire un lien entre le fondement de Louis XIV et leur hymne chéri puisse conduire les Anglais à trouver cette histoire « shocking ». smiley


    • gruni gruni 23 janvier 10:18

      Bonjour Fergus

      « véridique ou pas, cette parenté est restée dans les annales. »

      N’y aurait-il pas un rapport vengeur et sournois entre la perfide Albion et le royal croupion ?


      • Fergus Fergus 23 janvier 11:29

        Bonjour, gruni

        Comme s’il pouvait y avoir quoi que ce soit de « vengeur et sournois » dans les rapports entre nos deux pays, fût-ce par le truchement du « royal croupion »... smiley 


      • ZenZoe ZenZoe 23 janvier 10:53

        Bonjour Fergus,

        En effet, j’avais entendu parler de cette histoire. Une pensée pour les dizaines de cobayes qui moururent d’une hémorragie et furent enterrés en secret au petit matin pour ne pas éveiller les soupçons !


        • Fergus Fergus 23 janvier 11:33

          Bonjour, ZenZoe

          Il est en effet très probable que l’« entraînement » de Félix et la mise au point empirique de son scalpel ait causé des dégâts collatéraux. J’ai moi aussi pensé à ces gens en rédigeant l’article.


        • juluch juluch 23 janvier 12:06

          Je connaissais cette histoire de fistule et le chant repris par les Anglais....ils nous pique tout ces gens là !!

           smiley

          merci pour le partage et le rappel.


          • Fergus Fergus 23 janvier 14:10

            Bonjour, juluch

            En compensation, nous leur avons piqué le rugby et pas mal d’autres choses, mais volontiers laissé le Christmas pudding.


          • Jean Keim Jean Keim 24 janvier 07:34

            @Fergus

            Piqué le rugby ? Ce n’est pas sûr du tout, il serait une copie de la ‘’soule’’, un jeu d’équipe remontant à l’Ancien Régime, se jouant avec un ballon de cuir rempli de son ou de foin et qui se pratique encore dans le nord de la France.

            La soule serait même l’ancêtre du football et du rugby.

            Il ne faut pas confondre emprunter un vocabulaire avec le fait de copier ce que ledit vocabulaire désigne.


          • Fergus Fergus 24 janvier 09:05

            Bonjour, Jean Keim

            Passionné de rugby, je connais bien cette histoire de filiation avec la soule. Mais il n’y a qu’un très lointain rapport,
            Surtout, un sport n’a de réelle existence qu’à partir du moment où ses règles ont été précisément énoncées, ce qui est incontestablement dû aux Britanniques.


          • Giordano Bruno - Non vacciné Giordano Bruno - Non vacciné 23 janvier 16:20

            Pourtant, en général, ce sont plutôt les sujets de sa majesté qui l’ont dans le fion.


            • Fergus Fergus 23 janvier 19:25

              Bonsoir, Giordano Bruno - Non vacciné

              Par les temps qui courent, c’est le cas de la plupart des sujets de n’importe quelle nation.


            • Astrolabe Astrolabe 23 janvier 19:06

                  

              Cette histoire serait-elle sans fondement ?

              En tout cas billet sympa, le royal séant m’évoquant cette vieille ode aux multiples versions :

                  

              « Les organes -les mêmes qui servent aux greffes-

              Décidèrent un jour de se choisir un chef.
              Ils ne dérogèrent guère à la pratique
              D’organiser des élections démocratiques :
              Tous les organes, quelle que fût leur stature,
              Eurent le droit de poser leur candidature.

              Le cerveau disait qu’il lui revenait de droit
              De recevoir cet honneur, en tant que penseur.
              Les mains protestèrent, ainsi que les dix doigts,
              Argumentant qu’ils étaient les vrais créateurs.

              Les jambes, les pieds et les organes moteurs
              Mettaient en avant qu’ils étaient indispensables.
              Aucun organe n’était à eux comparable,
              Ils méritaient donc le poste de directeur.

              C’était pareil pour tous les organes internes
              Qui défendaient bec et ongles leur importance.
              Ils avançaient leurs raisons avec insistance
              Pour avoir la place de celui qui gouverne.

              Même les orteils voulaient la prérogative
              De devenir chef de l’ensemble des organes.
              Chacun faisait une description laudative
              De son rôle, comme des grands mégalomanes.

              Le trou de balle posa sa candidature
              En sollicitant d’être traité en égal.
              Ceci déclencha l’hilarité générale :
              Pour être chef, il faut en avoir la carrure !

              L’anus se vexa, -il est plutôt susceptible-
              Et refusa de remplir ses obligations :
              Il se ferma, et interrompit ses fonctions.

              Ça devenait particulièrement pénible
              Au bout de quelques jours pour les autres organes :
              Les yeux se brouillaient, le foie doubla de volume,
              La langue fourchait, le nez attrapa un rhume,
              Les reins étaient bloqués, « Popaul » était en panne…

              Et pour les organes qui se disaient « majeurs »
              La situation n’était pas des plus confortables :
              Les poumons s’essoufflaient, de même que le cœur,
              L’estomac, l’intestin, ainsi que leurs semblables.

              Le trou de balle remonta dans leur estime.
              Les organes-candidats se mirent d’accord :
              Ils reconnurent unanimement leur tort
              Et élirent l’anus comme chef légitime.

              La conclusion à en tirer est plutôt claire,
              Et je maintiens en pesant chacun de mes mots
              Qu’on n’élira jamais comme chef un cerveau.
              Un simple trou du cul fera bien mieux l’affaire ! »


              • Fergus Fergus 23 janvier 19:28

                Bonsoir, Astrolabe

                Merci pour ce texte que je connaissais pas.

                « La conclusion à en tirer est plutôt claire,
                Et je maintiens en pesant chacun de mes mots
                Qu’on n’élira jamais comme chef un cerveau.
                Un simple trou du cul fera bien mieux l’affaire !
                 »

                Souvent vérifié dans les urnes. smiley


              • Rinbeau Rinbeau 23 janvier 20:18

                Je me suis toujours demandé comment les Anglais arrivaient à se reproduire.. Maintenant que je sais qu’ils vénèrent les trous du cul.. A n’en plus douter les femmes Anglaises ont aussi un vagin dans l’anus !


                • Fergus Fergus 23 janvier 22:47

                  Bonsoir, Rinbeau

                  En l’occurrence, ce sont plutôt les Français qui ont « vénéré » le royal « trou du cul » de leur monarque.


                • Rinbeau Rinbeau 23 janvier 23:32

                  @Fergus

                  A l’époque la vénération des trous du cul se rependait comme la poudre à canon..
                  Aujourd’hui à la vitesse de la lumière !
                  C’est à l’ovalie que le god save the king chanté fièrement par les Anglais non informés (comme moi) de cette histoire de (trou) de balle prend toute sa splendeur.. Je ne pourrais dorénavant empêcher un petit sourire en imaginant la fistule passer entre les poteaux..
                   smiley 


                • Fergus Fergus 24 janvier 09:10

                  Bonjour, Rinbeau

                  Je connais cette histoire depuis longtemps, mais je parviens sans mal à m’en extraire pour écouter avec un réel plaisir ce très bel hymne qu’est le God Save The King, fût-ce avant le coup d’envoi d’un Crunch.


                • ricoxy ricoxy 24 janvier 07:55

                   

                  J’ai toujours entendu ce vieux dicton : « Les Anglais ? Le visage propre, mais le cul sale ».

                   


                  • Fergus Fergus 24 janvier 09:13

                    Bonjour, ricoxy

                    On adore brocarder les Anglais. Mais, outre qu’ils en ont autant à notre service, force est de constater qu’ils ne sont ni meilleurs ni pires que les Français ou les Allemands. 


                  • ricoxy ricoxy 24 janvier 09:45

                     
                    Bonjour Fergus
                     
                    Je suis allé deux-trois fois en Angleterre. Dès que les autochtones se rendaient compte, à mon accent, que j’étais Français, j’avais eu droit à des plaisanteries. Les pires, et c’est étonnant, venaient des Indiens ou autres immigrés. Allez comprendre !
                     


                  • Fergus Fergus 24 janvier 11:41

                    Bonjour, ricoxy

                    Je suis moi-même allé à plusieurs reprises faire des séjours au Royaume-Uni, à Londres au moins 4 fois, mais aussi en Cornouailles, dans le Devon et au Pays de Galles. Et jamais je n’ai ressenti d’impression négative dans mes contacts avec les Britanniques (excepté avec les contractuels très largement rémunérés à la commission sur les PV. smiley ). J’ai toujours eu des rapports courtois avec eux.

                    Même chose pour mon fils et ma belle-fille qui ont vécu 18 mois à Londres et sont revenus ravis de leur séjour. Lors d’un match de rugby Angleterre-France vécu dans un pub de Battersea (The Duke of Cambridge), le patron  pour fêter la victoire anglaise  leur a même offert le homard !


                  • ricoxy ricoxy 24 janvier 13:21

                     
                    Fergus, bonjour
                     
                    Cela dit, la patronne d’un restaurant de Londres, ayant appris que j’étais Français, vint s’asseoir à ma table et engagea amicalement la conversation. C’est peut-être le seul exmple positif.
                     
                    J’ai, dans ma vie, visité beaucoup de villes dans un certain nombre de pays, je suis passé sous des tas d’arbres. Londres est la seule ville du monde où un oiseau m’a chié dessus. Et je dis : il ’y a rien à espérer d’un pays où même les oiseaux sont racistes.
                     


                  • Fergus Fergus 24 janvier 14:21

                    @ ricoxy

                     smiley Sous le métro aérien de Paris, ce n’est pas mal non plus.

                    Vers chez moi sur les côtes, ce sont les goélands les plus redoutables : ils chient en piqué, façon Stuka.


                  • ricoxy ricoxy 24 janvier 14:41

                     
                    @Fergus
                     
                    Ça me rappelle un vieux dessin animé, où l’on voit des animaux tirer à boulets rouges sur l’ennemi en utilisant leur derrière comme canons.
                     


                  • vesjem vesjem 25 janvier 12:21

                    @Fergus
                    londres n’est pas l’angleterre


                  • Fergus Fergus 25 janvier 13:48

                    Bonjour, vesjem

                    Certes ! Mais il vous a sans doute échappé que j’ai également mentionné la Cornouaille, le Devon et le Pays de Galles !!!


                  • vesjem vesjem 25 janvier 12:20

                    Le plagiat de Haendel et de fergus


                    • Fergus Fergus 25 janvier 13:53

                      @ vesjem

                      Où voyez-vous qu’il y ait eu « plagiat » de ma part ? Je ne suis pas plus plagiaire que Radio France : tous ceux qui écrivent sur le sujet le font en s’appuyant sur les mêmes sources.

                      Et dans des styles très différents, le mien n’ayant rien à voir avec celui du rédacteur de votre lien ! smiley

                      Votre goût immodéré pour le persiflage et la diffamation vous font écrire n’importe quoi !!!


                    • vesjem vesjem 25 janvier 16:52

                      mes critiques te font du bien, çà t’occupe



                      • Fergus Fergus 25 janvier 13:53

                        Voir ma réponse ci-dessus.


                      • vesjem vesjem 25 janvier 16:59

                        @Fergus
                        par ces temps de pluie et de « réchauffement » climatique en bretagne, je m’emmerdais, je suis donc passé butiner un peu ici


                      • vesjem vesjem 25 janvier 16:50

                        tu prends tout au premier degré


                        • Corcovado 26 janvier 18:46

                          Je soupçonne également Fergus d’une petite récupération. En effet, cette anecdote a été narrée il y a moins d’un an dans l’émission Secrets d’Histoire, avec entrain et avec un peu de recul par le très concerné et compétent Stéphane Bern.

                          Bien entendu, je n’accuse pas de plagiat. Si Fergus avait du être le premier à relater cette histoire, il serait actuellement âgé de plus de quatre siècles.


                          • Fergus Fergus 26 janvier 19:50

                            Bonsoir, Corcovado

                            Je ne connais pas cette émission, et qui plus est Bern m’insupporte.

                            Mais de toute façon, comme vous l’avez souligné, si j’avais dû être « le premier à relater cette histoire », je serais en effet très très âgé. smiley

                            Il se trouve que j’aime bien les histoires insolites. J’en ai d’ailleurs raconté des nettement moins connues sur ce site.
                            A l’image de celle-ci : De Paul Masson à Lemice-Terrieux, itinéraire d’un délirant procureur de la République.
                            Ou de cette autre : Le chien de Montargis suis, oyez mon édifiant récit !
                            Ou bien encore de celle-là : « L’homme invisible » a existe !


                          • Corcovado 27 janvier 04:34

                            Bonsoir ! J’ai lu ces articles intéressants et sur leurs commentaires j’ai appris que vous faisiez diversion au profit de l’oligarchie mais je n’ai pas su déterminer si c’était volontaire ou non. 


                            • Fergus Fergus 27 janvier 09:24

                              Bonjour, Corcovado

                              « j’ai appris que vous faisiez diversion au profit de l’oligarchie mais je n’ai pas su déterminer si c’était volontaire ou non »

                              En réalité, vous n’avez rien « appris » mais lu des commentaires délirants émanant d’intervenants qui, depuis quelques années et l’émergence sur le site d’un contingent de personnes au service de l’extrême-droite ou véhiculant des thèses complotistes, m’ont pris pour cible dans la mesure où je suis opposé à leurs idées sans être pour autant au service de quelque idéologie politique que ce soit.

                              Rien n’« appris » car c’est évidemment archi-faux !
                              Bien des années avant d’être accusé de « faire diversion » (je suis sur AgoraVox depuis 2008 !), j’écrivais les mêmes types d’articles, à savoir des textes (982 articles à ce jour) portant sur des domaines très variés (et même des fictions) au gré de mon intérêt pour des questions d’actualité ou pour traiter des sujets qui me tiennent à coeur. 
                              Ceux qui  obnubilés par leur haine du pouvoir ont écrit de telles âneries à mon égard oublient systématiquement qu’AgoraVox est un site généraliste, autrement dit un lieu où l’on peut publier des textes portant sur tous les sujets, exactement comme dans les pages d’un quotidien généraliste !!!

                              Contrairement à d’autres auteurs, manifestement en mission au service d’une idéologie, je continuerai à proposer des textes éclectiques*. Et peu m’importe que cela puisse défriser quelques intervenants.

                              * Le prochain sera consacré à La Folle Journée de Nantes, un festival de musique classique auquel je participe tous les ans. Libres à mes censeurs de penser qu’il s’agira là d’une « diversion »smiley

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